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sant épouser la jeune princesse, fille de Louis XVI ; mais l’empereur n’ayant pas voulu consentir à cet arrangement, la couronne reste errante, en attendant que saint Rémi vienne la poser sur quelque nouvelle tête royale. » (Extrait du Courrier républicain.)
Étant donné le temps nécessaire pour que le secret transpire et pour qu’il soit ensuite transmis d’Allemagne à Paris, la coïncidence de ce bruit avec le moment où Madame Royale prit le deuil à Vienne, est frappante.
Il faut sans aucun doute voir là un indice de quelque intrigue du comte de Provence, à l’effet de vaincre les derniers scrupules de sa nièce, par un appât offert à son ambition.
ou Le Républicain
N° 36
Voici l’extrait d’une lettre de Belle-Île, en date du 9 messidor :