Page:Lanne - Le Mystère de Quiberon, 1904.djvu/433

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brûlèrent plus une amorce. Enfin, ils en manquaient si peu, que nos grenadiers jetèrent les leurs, qui étaient avariées par le mauvais temps, pour prendre celles que les émigrés avaient dans leurs gibernes, et qu’ils jetaient sur le rocher de Portigues[1], au pied duquel six ou sept cents se noyèrent. » (Vie de Hoche, par Rousselin, t. 2, p. 203.)




N° 17

Extrait d’une lettre adressée à Wickham, ministre d’Angleterre à Bâle, par un de ses collègues.

» I think it proper to send you the following Extract of a note I have just received from M. le comte de Hauteville upon this subject : “Lord Grenville s’est aussi expliqué sur les sentiments de votre Ministère à l’égard de la reconnaissance de Monsieur en sa qualité de Roi de France ; son opinion est qu’il ne faudrait point de reconnaissance isolée, mais que toutes les Cours coalisées se concertassent pour la faire ensemble lorsque l’on aurait obtenu qu’un Parti fut formé en France pour proclamer ce nouveau Roi, qui serait ensuite soutenu. »


M. Trevor to M. Wickham. Turin : July 18th. 1795.
(Received 31 st.)
(Correspondence of W. Wickham, vol. Ier, p. 118.)
  1. Port-Haliguen.