correspondante de la fonction dans laquelle on suppose négatif, en changeant en dans et en supposant que les différences négatives représentent des intégrales ; mais, si l’on a égard aux constantes arbitraires, il faut, en passant des puissances positives aux puissances négatives de augmenter d’un nombre de termes égal à l’exposant de la puissance négative de On voit par là comment les fonctions génératrices se forment de la loi des variables correspondantes, et réciproquement, de quelle manière ces variables se déduisent de leurs fonctions génératrices. Appliquons maintenant ces résultats à la théorie des suites.
III.
De l’interpolation des suites à une seule variable, et de l’intégration
des équations différentielles linéaires.
Toute la théorie de l’interpolation des suites consiste à déterminer, quel que soit la valeur de en fonction de et des termes qui précèdent ou qui suivent Pour cela, on doit observer que est égal au coefficient de dans le développement de et, par conséquent, égal au coefficient de dans le développement de or on a
De plus, le coefficient de dans le développement de est ce coefficient dans le développement de est dans le développement de il est égal à et ainsi de suite ; on aura donc, en repassant des fonctions génératrices aux variables correspondantes,