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Page:Laplace - Œuvres complètes, Gauthier-Villars, 1878, tome 10.djvu/257

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lorsque l’un quelconque des nombres est impair, et

Si les puissances auxquelles les facteurs de sont élevés sont très considérables, on aura à très peu près

étant ce que deviennent lorsqu’on y change dans On aura ainsi a très peu près

d’où l’on tire ce théorème général :

L’intégrale prise entre les valeurs consécutives de qui rendent nul, est à très peu près égale à

si les facteurs de sont élevés à de grandes puissances.

Article II.
De l’intégration par approximation des équations linéaires
aux différences finies et infiniment petites.
VIII.

Considérons l’équation linéaire aux différences finies

(1)