celle qui correspond à cet équilibre. Toutes ces forces laissent subsister le théorème précédent. En effet, si l’on nomme la déclinaison d’un astre son ascension droite et sa distance au centre de la Terre, il faut, par le no 24 du Livre troisième de la Mécanique céleste, retrancher, du second membre de l’équation précédente la quantité
la fonction
étant le développement, dans une série ordonnée suivant les puissances de du radical
étant le mouvement de rotation de la Terre ; on a généralement
Si l’on n’a égard qu’aux variations croissantes avec une grande lenteur, on aura
on peut négliger les termes dépendant de vu la petitesse de l’équation donnera ainsi, en faisant
d’où il est facile de conclure que sera toujours de la forme et qu’ainsi l’axe de rotation du sphéroïde imaginaire sera toujours axe principal de la Terre entière. La