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Page:Laplace - Œuvres complètes, Gauthier-Villars, 1878, tome 13.djvu/202

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application du calcul des probabilités
aux opérations géodésiques de la méridienne.

Connaissance des Temps pour l’an 1822 ; 1820.
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Ce Mémoire est reproduit au § I du troisième Supplément : Application des formules géodésiques de probabilité à la Méridienne de France, Tome VII, p. 581-585 [1].

  1. La comparaison du Mémoire dont nous venons de donner le titre avec celui qui a été inséré au Tome VII permet toutefois de relever une petite erreur dans le § I du troisième Supplément, Tome VII. À la page 583, lignes 7-8, on lit :

    « Il y a un contre un à parier que l’erreur tombe dans les limites  »

    Et à la page 585, ligne 10 :

    « De là il suit que les limites etc. »

    L’un de ces deux nombres est donc erroné.

    Le Mémoire de la Connaissance des Temps, 1822, donne deux fois la même valeur pour l’erreur moyenne, soit

    En réalité il faudrait Effectivement

    (Pari un contre un)

    pour

    (Faye, 1881, t. I, p. 225, ou Liagre, 1879, p. 273).

    D’autre part. Tome VII, p. 583, on a

    d’où, pour l’erreur moyenne,

    Le nombre donné par Laplace, diffère un peu, sans doute, parce que la valeur de déduite des formules de Laplace, Tome VII, p. 104, n’a pas été calculée avec autant de précision que celle employée plus haut et tirée de Faye.


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