des deux hémisphères terrestres [1].
1. Je conserverai ici les dénominations des Livres III et VII de la Mécanique céleste et je supposerai que l’on a ces Livres sous les yeux. Si l’on conçoit une molécule de la Terre, placée à distance du centre de gravité de cette planète ; si l’on nomme le cosinus de l’angle que fait avec le demi-axe boréal de la Terre, et l’angle que le plan mené par ce demi-axe et par forme avec un méridien fixe sur la Terre ; si l’on nomme pareillement et les mêmes quantités relatives au rayon de l’orbite lunaire, il résulte du no 15 du Livre III que l’action de sur la Lune produit, dans la valeur de du no I du Livre VII, le terme
ce qui produit, par le no 15 du Livre III, le terme
en ne considérant que les termes divisés par et en n’ayant point
- ↑ Lu au Bureau des Longitudes, le 12 avril 1820.