avec le déplacement séculaire de l’écliptique. Ils trouvent ainsi
Lorsque le temps que nous supposerons exprimer un nombre d’années tropiques, n’excède pas cette formule et la formule (1) donneront à fort peu près l’une et l’autre, pour la variation de l’obliquité de l’écliptique,
mais ces formules seront fort différentes, lorsque le nombre sera de plusieurs milles.
exprimant la précession des équinoxes sur l’écliptique vraie, on a, par le cinquième Livre de la Mécanique céleste,
Suivant les géomètres cités, on a
la longueur de l’année est
étant l’année sidérale, on a donc cette longueur égale à
étant la longueur de l’année tropique, lorsque est nul. Suivant les géomètres cités, cette longueur est
En comparant ces formules aux nôtres, on voit que l’on aura notre expression de en multipliant chaque terme de leur expression, ren-