Page:Laplace - Œuvres complètes, Gauthier-Villars, 1878, tome 2.djvu/406

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la longitude du nœud descendant de l’équateur lunaire, égal à  ; on a donc

Ainsi la première des deux valeurs de doit seule être admise ; l’équation donnera, par conséquent,

d’où l’on tire

Mayer a trouvé, par ses observations, on a de plus

et

partant,

Les résultats précédents n’ont lieu que dans le cas où les arbitraires et sont nulles ; examinons le cas dans lequel ces constantes, sans être nulles, sont très-petites. On a généralement

en substituant dans le second membre de cette équation, au lieu de sa valeur complète, et faisant, pour abréger,

on aura