on aura ainsi
ce qui donne
telles seraient les valeurs de et si la planète n’avait aucun mouvement de rotation.
Si l’on suppose l’astre attirant au-dessus du pôle ou à l’origine de l’angle on aura le cas que M. d’Alembert a traité dans ses excellentes Recherches sur la cause des vents ; dans ce cas, partant on a