on a il est clair que-sera pareillement du même ordre ; en négligeant donc cette quantité dans l’équation (1’), elle donnera
On aura ensuite aux quantités près de l’ordre constant pour toutes les molécules d’air situées sur le même rayon ; or, à la surface de la mer, on pourra donc supposer à cette valeur pour toutes les hauteurs de l’atmosphère ; la quantité se réduira ainsi à et ce terme exprimera la différence de densité de deux molécules d’air situées sur le même rayon et également élevées au-dessus de la surface de la mer, la première dans l’état de mouvement et la seconde dans l’état d’équilibre ; de plus, on aura partant
(5’)
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Si l’on considère le mouvement des molécules d’air contiguës à la surface de la mer ou celui des molécules d’une même couche aérienne parallèle à cette surface, il faudra supposer l’équation (4’) donnera, par les articles V et VI, les deux suivantes, en y supposant
(6’)
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(7’)
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étant tel que nous l’avons défini dans l’article XXII, et étant, comme dans le même article, égal à
Au moyen des équations (5’), (6’) et (7’), on déterminera les oscillations de l’atmosphère lorsqu’on aura déterminé celle de la mer ; si l’on