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père qui fait son paquet pour l’autre monde, avec lequel z’il est pour la vie, — Larissole, — sergent aux gardes-françaises. »

POIRETAPÉE, jetant un cri.

Ah ! (Elle tombe dans le baquet, à gauche.)[1]

RAFLAFLA.

Oh ! (Il tombe dans le baquet de droite.)

FINAL.
TOUS.
––––––––Quel prodige s’opère !
––––––––Tous deux tombent par terre !
POIRETAPÉE, tendant les bras à Ciboulette.
––––––––Ma fille ! je suis ta mère !
CIBOULETTE, courant la retirer du baquet.
––––––––––––Ma mère !
TOUS.
––––––––––––Sa mère ![2]
RAFLAFLA, tendant les bras à Ciboulette.
––––––––Ma fille !… je suis ton père !
CIBOULETTE, allant vers lui et le relevant.
––––––––––––Mon père !
TOUS.
––––––––––––Son père !
POIRETAPÉE.
––––––––––––Son père !
RAFLAFLA.
––––––––––––Sa mère !
POIRETAPÉE.
––––Sous le bonnet de ce tambour majeur,
––––Je reconnais mon lâche séducteur !
TOUS.
––––––––Il est son séducteur !
RAFLAFLA, à part.
––Ô destin, pas de chanc’ ! c’est jouer de malheur !
––Je retrouv’ la beauté qui fit battre mon cœur !
LE COMMISSAIRE.
––––––––Allons, parlez, caporal,
––––––––Expliquez-nous ce mystère infernal.
  1. Poiretapée, Beurrefondu, Croûte-au-Pot, Ciboulette, Commissaire, Madou, Raflafla.
  2. Poiretapée, Ciboulette, Beurrefondu, le Commissaire, Madou, Croûte-au-pot, Raflafla.