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LE PRINTEMPS D’UN PÈRE.
Sous mon toit j’ai le printemps,
Et j’entends
Son éternelle harmonie.
Car j’ai vos fredons joyeux.
Vos grands yeux
Pleins de sourire et de flammes :
J’ai surtout, — perles sans prix, —
Mes chéris !
Vos belles petites âmes.
- Mars 1875