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Page:Lara - Contribution de la Guadeloupe à la pensée française, 1936.djvu/27

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À LA PENSÉE FRANÇAISE

Tel qu’un fantôme vain dont l’erreur nous abuse,
N’offrent plus à nos yeux qu’une image confuse.
Près de chaque buisson, dans les bois tortueux,
Le ver étincelant luit au fond des ombrages ;
Les astres sur les eaux réfléchissent leurs feux ;
L’éclair brille au midi sans annoncer d’orages.