Page:Larguier - L'an mille, 1937.djvu/199

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Cyprières où il vit pendant presque toute l’année, a bien voulu nous donner la primeur de ces pages qui méritent d’être classiques, et qui charmeront nos abonnés. Qu’il en soit publiquement remercié. »

— Comme c’est curieux ! se dit le Président, voilà un homme du plus haut talent qui ne publie jamais rien dans les journaux de Paris et qui donne sa copie à un hebdomadaire de village. Voyons ; l’endroit est bien choisi pour goûter son article.

Il lut :

Madame France
par François Laurières

« Ce n’est pas une semeuse en tunique grecque, une robuste fille en bonnet phrygien, comme il y en a sur les pièces de monnaie et les billets de banque. Les artistes qui exécutent ces