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HAMBOURG — HAMPDEN.


tiens, qui l’avaient domestiqué, en ont souvent représenté la ligure sur leurs monuments et ib prêtaient quelquefois sa physionomie à liMirs divinités. (V. Singe.)

*HAMBOURG, 28<)85<) hal>., ville libre et lianséHii(|Ui- irAllemagne et le nrt-mier |Hirt (If coninicn-i ! de <« pays sur I Klhe ; ceninde chemin» de fer sur lierlin, Ldlieck, Kifl. Brème, elr. Des canaux, pareils a ceux île Venise et datant de la même époque, con-IK’Ut les vieilles rue» ; quelques-uns sont très vastes et profonds. N(iMil)r<’iises banques, armements pour la pèche île la lialenie et du harcn».’, lieu d'emliarquenuiit des i>mi>;rants pour r.mérique. Les établissements industriels les plus importants sont ; des raffineries de sneiv, des fabriques de machines, dos imprimeries d’étollVs , des blanchisseries de cire, des mé) ;isserics, des fabriques de savon, des lllatures, des manufactures de toiles ordinaires et de toiles à voiles, de velours et do soieries, des brasseries, des manufactures de tabac, etc. D’après la constitution de 1879, l’administration générale se partage entre un sénat et un conseil de bourgeoisie. Le sénat désigne un premier et un second bourgmestre nommés pour un an ; il délègue, en outre, des commissions pour les diverses branches de l’administration jiublique. — Le territoire du port lil)re de Hambourg est de 873 !l hectarc^s ; en 1880, il avait il i’Jitihab. Le territoire liambourgeois ttiut entier est de HO kilom. carrés.

*HAMBOURGEOIS, OISE, [llniii/>i)U)i/ , aili. et «. De Hambourg : /-’" commi-rce hamhn u rgvois. Il Habitant decetle ville : Li’s llam/iouryfois fif/urenl txirmi les fontlnlews lie la li’jtte nanscatique. *HAMEAU (vx fr. Aamel, dm. du vx fr. ham, lu VHA. chiim , de- meurel, i^m. Petit village qui n’est compose que de quelques maisons et nui est écarté du siège (le la commune où se trouvent la mairie et l’église paroissiale : Un haniriiii niiil hàli.

HAMEÇON (dm. formé du vx fr. haim, hameçon, et du sfx. eçon ; hni’iH vient du 1. ha- mum, hameçon , sm. l’etit crochet d’acier attaché à ui’ie ligne de pèche par l’intermédiaire d’une soie et dont on garnit la pointe d’un appât pour prendre du poisson. Les hameçons de nos ÎC3 jours consistent en un (il lu d’acier recourbé en forme ||B d’U et présentant deux ^P branches parallèles inégales. L’extrémité de la petite branche se termine par une pointe très aiguit Utf de laquelle se détache A obliquement et eu dedans n une autre pointe qui s’a- 1 baisse vers la courbure. ^ L’ensemble de ces deux pointes (Igure une sorte ccenl circonflexe dont est rattaché à la ligne. Les hameçons, aiiris avoir été fiiçonnés, sont trempés dans un nain de sable convenablement cliaulTé ; puis nettoyés dans un tonneau tournant renfermant de l’émeri et du savon et enfin recuits dans le bain do sable jusqu’à ce qu’ils prennent une teinte bleue. L’hameçon est un des premiers engins que les hommes aient fabriqués. A répo(|uo de la .Madeleine, il était exlrémcmcnt simple et consistait en une petite esquille ou aiguille d’os, longue de 3 a 4 centimètres, droite, mincA-, appointée par 1>m deux bouts. On attachait ce fragment d’os par son milieu ù une lanière ou à queluue libre végéU’ile et on le recouvrait de l’auiial : avalé par le poisson, il se lixait dans Vmtiirieur de son corps par l’une ou l’autre de HAMADRVAS HAMEÇON pointe d’ïicce les l>ranchcs forment un angle d’un petit nombre de degrés. Cet ensemble s’appelle le crochet ou la harhe de l’hameçon. L’extrémité de la grande branche de celui-ci porte un petit aplatissement destiné à fournir une prise à la soie au moyen de laquelle l’hameçon DICT. L.VaiVK KT FLEl’ItY. — l.lv. 59. SOS pointes. I .es hommes de la Madeleine avaient en outre des hameçons plus compliqués, portant sur un de leurs côtés des entailles on forme do dents aiguès. Dès l’époquo de la pierre polie, on avait déjA des hameçons fort analogues aux nôtres et fabriqués avec un fragment de défense de sanglier. La grande branche portait une petite encoche où l’on tixail le lil, et la petite se terminait par une seule pointe aiguè. Les hameçons de cette sorte sont les plus rares. Il y en avait alors d’autres beaucoup plus simples, absolument semblables à ceux <le l’époque magdalénienne, mats avant souvent au milieu une petite dépression où l’on attachait la ligne. Les hommes de l’époque néolithique péchaient en outre le poisson au moyen (l’un harpon en bois de cerf, i V’. Harpon.) A l’ilge du bron/.e, on eut des hameçons de bronze qui ne ditTèrent point, quant A la forme, des hameçons dont nous faisons usage aujourd’hui’. Seulement, leur grande branche se terminait soit par une sorte de boucle il laquelle on fixait le bout de U liKne, soit jvir une série de petites denteluros dans lesquelles oo l’enroulait. Il y avait aussi des hameçons doubles dont l’ensein’ ’ •— «t être i-omparce aux branche"

es

diu>s piiice-nez. <Jn attachait 1 <

ais l’anse formée par les deux grande* hrauclies. Les liamecons de l’ige du bronu se retrouvent en très grand nombre dan-’ les de la Suisse et de l’ilalie. Ils es en France ; néanmoins, au mu . uy, à Pans, on en voit un de tm grande uille qui a été découvert en 183’J dans un Iwis de la commune de Pontpoint (Oiset, dans une cachette de fondeur. || 1^ fioiitun mortl à t’hameron. il e.i ...i ii,,., de manger l’appil qu’onamisau’ .i ci. — Fig. Monlre a l’hainrmn. s irprendre p ir !’.ip. parcucodo quelque chosi^ d’util -x. hle : Cri h ..r t avilir • M eile},, Kig. I ,,, . |doye pour Irom^x-rquelquuii : // «/ lr^$ avise et ’"' l’isurenlire n

| Autre

nom l’f

des serruriers.

— l»ér. Ilainrfonni’.

*HAMEÇONNÉ, ÉE, (hameron), ailj. (lami d’unoude ; I b.-i- ineçons ; g 1 .-n forme d’Iiau < utr hame^onnér.

HAMILTON I coure. ,. •. ;. •- : . .,,,.1 pugnun d’eiil de Jacques II, auteur des Mémoires tlu comte itr (Iramont, de contes imités ’li ;s .Ville et une uUt ’t de poésies. liA.III.TOX, 37*00 iiab., ville du Canada Ontario) ; ch. de frr de ^ ira h Détroit. In-’ tr*s développée.

  • ille, prospère et

’", est l’en- , loduitsd’uiin i’ - l. _’iiilis les plus riiles du haut Canada.

IIA.MILTUN (IK>HT). jMM’t constitué par un L’rou))* de petites lies si-- dans le détroit de . au N. -K. de l’ile . . . | .art. ll..MLiCT, prince du Jiiiland qui, suivant S.i'> (trammatirus, v , li’siècleav. J .- C 1 ’ une ir ’ •

.

fabiil. .11., weiiili . i^-, i. sine |>iir Kengo, frer» du roi. I.* meurtrier aurait ensuite épousé la veuve de sa victime, et ILimlet, redoutant un son pareil, aurait simulé la folie pour y échapper. Shakspeare a tiré de cette légende un drame immortel sous le titre d’Hamlel. ftrince de Danemark. Ce drame a inspiré plusieurs musiciens italiens et français ; parmi ces derniers se trouve Ambroiso Thomas.

IIAi.ll- :HICII ( FrkokricPibrre-Adolpub ) 1809-18771, poète et patriote danois. Bii 18(0, il publia ses Chanli He vo^gt .iritn(linaiy.f, qui exrilèri-’ -i i- thousiasme, et plus tard. ’le en Allemai/ne, son œuvre , . , , !ia- ble. Pasteur i Copenhague, il fut I un des chefs les plus ardents du parti danois et flt les camp.ignos de 1848 à 1850 en qualité d’auniAnier.

HAMON (Jk«- ! " is->i lu-ît de genr<< fran> Cet artiste esi . pas. Ce n’est fxis u, Orphelins, l’ne /»( !;

HAMPDEN (John . p .itri"ie "i i-,’v..iiiti,M|. naire anglais, né à Londres en IS9i. Entré 111