Page:Larive - Dictionnaire français illustré - 1889 - Tome 1, part. 3, franch-hyst.djvu/20

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tant de Oabaon ; qui a rapport à ectt« rille : l.r .r Cnlmonilfs firent alliance am Janut. U.VIIAItiC (bl. yiibhaïujt), nf. l’elil liaii-ati larjif ei plal, « voile» cl à rainux, qui «rt ]iour clmr>;<T et dwhiii’cer Imi navires, pour navijfuer sur les rivii^ri’s : Di’rhiiri/rr uniiiahnre.

Aurion navire île charge ou de iian>()ort. (Mar.i {| Grande seine. — Di’r. liahiirier I, iinliarolte. GABAill ou «iAIIAKIT (prnvenç. garhi. del’ar. (/ii/iVj.niouIr ,»/i. Mouel<’ de ^/raudeur ^r. nuIIh. m nalurolle d’après lequel on vérille l’eiéeu lion <1>'S priillls, niouluics, elr., d un navu-"’ iiistruclion : l^ r/afinht de t’ilrave. Il Uulil (le précision servant A tracer le« entailles des travei-sc» de rlieniin do for, à TériliiT IVcarleMient des voies, eir. — Op. Oafiari st. en quelmip sorte, un doublet do Calibre. — Drr. (Uiharirr 2. «(iAliAKIAfiE {gabari), m. Action de laire un gabari. l.d.VIlAHIEIl {iiabare),.tm. Patron d’une ^•abaiv. Il l’ortel’ais qui l :i cb.ir|.’e ou la décliarire. 2. *<iAliAttlKlt { !/nljari, il. Façonner conrorniénienl au )ral>ari ; daharier le maltif- /,iiii. Mar.) ciAIIAKOT, sm., ou «iAHAIlOTTB (dm. de t/ti/jiiri’), sf. Ancienne petite (fiibaro à liiiiil plat el non pontée, (Mar.) <i AUAIlIlET, i 21’.) bab.Cb.-l. (le c, arr.de Mont-do-Marsan (Landes). I^aux-de-ric, tanneries. tJAIlEtïIK (vx fr. r/aher, se moquer), sf. Kraiiilf, iiitri^’ue : Il y a de la ijaheijie dans fille affaire. (iABEI.AtiE ir/aMer), .im Temps jtenilant lequel le sel devait rester dans le ((renier avant d’*tr< ! vendu. || . Marques que les commis mettaient dans le sel |>our reconnaitiv s’il provenait de la )ralielle. <i.IIKI.I’ :H i/a/ielle). r/. Kaire sécher le sel dans les pceniers de lapibelle : Uahelerdu sel. «iABEI.KUH (r/abelerj, sm. Employa de la îiabelie. (iAilEI.I .R (iir.qnliiila, imp(St^, .tf. Antretois, impôt sur le sel : l.r.f ailles et i/abelles. il l’ai/s de t/atielle, relui où cet imixjt était perçu .|| Oreiiier «il l’on vendait le sel : Aller a là naliflle. Frauder la ijalielle, se soustraire p,ir franilc au payement d’un droit de douane ou d’orlroi. — I.e nom de i/abelle fut d’abonl donné à ce que nous appelons aujourd’hui les dmils réunis ou imitais indirects : puis on l’appliqua spécialenuMit à l’impôt sur le sel ; ceux qui le percevaient furent désijrués par les noms de f/abeleur et gaUloiLt. Kn 13*0, Philippe VI établit le monopole du sel dans tout le rovatime : on plaça lies ^Teniers à sel dans toutes les provinces du domaine, on assi^rna a chaque lamille la quantité de sel qu’elle devait y acheter et l’on en détermina le prix. Malf.’ré les soulèvements provoqués par cet imp(’it en i :i. ">." > el IXïG, il devint |>einianent sons Charles V ; mais son mode de peireption était bien loin d’être uniforme. Les tentatives faites pour réaliser cette uniformité .inienJ^rent des révoltes en thiyenne el à Bordeaux (l ;it ;i el l.’iiS). Sous Richelieu, nue augmentation de tarif occasionna les prises d’armes des croinianls et des va-nu-/)ieds. O -l impiSt impojiniaire. qui rapportait 38 millions aux fermiers généraux an moment de la Révolution, fut supprimé par la Constituante en n’Jfl ; Napoléon 1" l’a rétabli en I8(M«, mais en le transformant en simple ini|M’it de consomnialion et en ilépouillant sa perception du caractère vexatoire qu’elle avait sons l’ancien régime. — DéP. Gabelou. gabeler, qalieleur. f/abeltiae.

  • <iABR1.0IT (l’Ib. de gabeleuri, sm. Autrefoi

», par denitri’enieiit, employé de la (lalielle : l.e peuple exérrnit les gabeloiLi. | 1 Aujourd hui, employé de l’octroi, de la douane : Huts de rare et gatielous. (Pop.) «iAHfts. iV. knb^s.) «iAillAN. I lir)hab.,bonr(f du canl.de Roujaii. aiiMleHé/iers(lIéniultUsurla’ron)rue ;ch. de l’ertl.’ I’. I.. -M . Houille, source de pétrole. tti.ABII- : ilal. gabbia’i, sf. Nom donne autrefois il la hune par les marins de la Méditerranée. — - IJér. Gabier. ( ;ABIKB ti/(ibie), sm. Matelot qui se lient dans l :i mâture pour visiter et entretenir !<• GABARK — GABRIEL Jrréemeut : Ut gabiers sonl ehoitit parmi es plus liabiles matelots. UABIKK, ul|i. (Ifs Voisqucs, que Seitiis, M» (le 1 anjiim le Sniierli», livra par arlilb. aux RoNiaiiis, «•ABION ilal .gabbiime :degabhia.i :at :, sm. (irind ]> iiiii’r ri linilrique sans fond et r.’inpli dé terre, Mnrani dans les tntv.im il<- si^i’ipour la r<ii revêtement ! trancli< Il pn^i dans I . . , . tains cheniineinenls de r.illnijtic ap|>elés tapes : ’ . . ordinaires mnage. || (ia-’, t<ni f<i"f ou de sape, celui qui est rempli de fascines ou de branclmjfes. — I)<kp. (labionner, yabionneur, gabion nade. UAUION>'AI)R igabionnrr sf. Onvnifre exécuté en gabions. (Art militaire.) «>.BinKH gabiun, vl. Vraiéger avec des ({abions : (labionner une batlerie. une tranrhi’e. — Se gabionner, IT. . Se piiiti’jfcr avec des ^^biims.

  • (JABION.Ell|t

[gabionner), sm. Celui qui fait ou pose (les gabions. OABIOTTES (les), forêt domaniale de la Haute - Saigne , peuplée de chênes el de hêtres. 651 hectares.

  • c.ai.K bl.

gabulum . de rallem. gieltel , faite, sommet), sm. A l’oriffine, l’angle formé par les deux arbalétriers surmontant l’oiivertuii’ d’une lucarne. |{ A |> ;irlir du milieu du xiii* siècle, maçonnerie en forme de’ pointe de pignon formant le couronnement d<Mi portails (les églises, des archivolt^’s des feiiiircs, des ai-cs fomierets des voiiies, etc. Les deux rampants de ces murs triangulaires sont gamisde crochets <>t souvent couverts de moulures, et leur int<>rieurest percé de jours avec des n>dcnl» en roses on des menraiix de dilTérentes fornics. Les plus anciens gables en pierre sont ceux qui surmoutenl les fenêtres de la Sainte-Chapelle de Harisflîi’i' : puis viennent les deux grands gables des portails nord et sud du transept de Noli"e-r)anie de Paris il2.">7), r^ui des cathédrales d’Amiens, de Laon et enfin les fameux gables du portail de Reims (1260), d’une richesse sans OBalc. Au xiV siècle, les gables furent complètement ajourés el on garnit leurs rampants de redents remplaçant les crochets. A la lin du XV’ siècle, les deux rampants furent incurvi’s de manière A présenter Hvure d’une accolade //3 aASLE ^^ VORTA11. HiSIMAKAL Ml NOTRS-DAMK M PAKU (llll* UftCl-B) I* l -NK l.lIC4RNr SN IKMS DU l.k CATHl !l>M&L« D’AUtI S (XIV* »lfcCl.K) »’imB trcASKS its rttSKi ; ^a CaAVSAU M MMBLIS lAv» ntcut) par leur n’union la . Les galiWs forniaieni une décoration i . . i ii pwit hrnr*%t^meol la monotonie .i>'< grande* bcnMbonto» lat«« par le«)tirlle* w («naiaaieia Im nuin iroUtleroL». — GT* Vloli-i I» |l*M- .(«•.- ...- re rabonh’ ’ ifUble nrrr Ili t’uiiiu el la lirmbu*, > de cours d’eau qui ’ c6lés. La r.d.r» ! lioril< •• < l osthameelmarecageuM-, p.. do fon’i- . . Kn ls ;_>

.-

, .i,- fran. miiT . un terrain n-l* a la l’u :. iniligène». «JAlioN ^l !^•>. HIAI I Mir 1 / I T(> roiiiiii l’ii.ti . acquis en ’ . iari et bi caisedel’Ottuir «rHii ai> • . giieur de pln« ie tnoii kil puis l’cnit» >. celledu(i seplenlriiMi de la liaie : la |i«titr < ! l’Étal libn : du i ment l’estuairt’ liabnn. r t’ • Siari ou N de ces tnui limite le cours du l liilujtugo nu S.,’ uw lipio convenlioniirlle alUot de U uiurre de ce petit fleuve r.’ !’ ’ ’ ’^' ’

...., !,

amont d« Many < ’ n.. à partir de ce p< juequ’rn anionl du roiillurni de l.i banghi (Uubandjii’.doni i<-ni toh» inconnu, appartient à î’ orientale de la posse-Bvoir contourné «er. 1.. . baiighi ou Licona, rot dri. tionncllement par le 17* ) (»»• 10’ de P.%ri» L. tiêe est débilitant ih’i. vent meurtrier : ! • ’ de ->• aSo.S. La | tient ^ quatre ri’ loa i .V l’ongH-es , U-> /<«u>'»u.<. le» HuMlrt,lr^ t’ilns ou l’ahouins venus de l’K. A l’miérieur sont les II :’ ’ ’ ’ ’ ’

roiM sur 1 région silU’ / sur le Congo, station >' ciale fondée par P. . s.i 1880, Il I ."lUO kiloni > : grand fleuve. Les pnn. i| végétales sonl les Imhi :. , . douces, les aracbi’ !.-.

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n.i - . i les ignaroan. La < :u .< ~ ’ >’ ’ ’ ’- ’u y pro»i>érenl aus-i . i>ii i , li. . n.n’.-. dans la pLintation (h — !.. y. : :. ni.. ; n catholique. ’ - ^ ’ nil le. IVs porcs el un , seuls animaux ’ Le coniiiierce r caout ’ ture hassiii mine* de li’ rileroent e ; Portiiirais aient e«»« • 4i.liiilii V ’ fier I ; tels ., Crime ; !’ liABUII I un ib-s »<'1>I .• u-i. Marte quelle «mil U m>r« dû Sauveur qu»u j etete. (nr l’iTOii*, h> hommte ér theii^, eMm qui auiottra it