GABRIEL DE SION OAimiF.I. I)K SION (1577-1648), orienulisU’ syrien. uiiti-ii r (l’u ni * ’irnmmn/ta/nraïira Miirimiliirum ei (le qiiolqiii’s uulri-s ouvrafres. «JAUltlBM on (iAHIllKM.I (Anuuk !, ’ oniposiUMir fi orv’aiiinlf, ne ii V«iii<i«, mon • n 158(i. Il c<>inpi)ii.’t la inuitiquc tlet féieg iliiniK’i's à lliMiii III il Voniso, lor» de «ou rclour (le P’tln^’mv 'KHTHI^ :i- :s. (V. Estr^rt.) (iAUKIIOI.I.I, raniille iialiennit on)(in«ira (I. - OnliliMi. Kllcuppailenait au p. -irti ^’i lioliii. «iAlil(li :i.l .l (<ATAHiN.) (n30-l7’Jfi).cani. iinif ii.ili .Mine qui «o ll nmnailre ilaii» la S’ipinis/Ki iti’Ouhippiet la DkloiiedKJumeW’l. «(iAIll’ItON, tm. Juiiii’lle pour Turtillfr lin inùl. Mar.) (iAi-.K, I6 !t3 hall. Cli.-I. «Ir* r., arr. «lAr-
!
. 111 :111 (Orne), sur la Touques ; eh. de fer • ! . • r<). Ti>ile.< de lin, (janterii-s, laliriqneii de ’Ii ;indt’llcs. 1. *<i.V(’.IIE (VIIA. waskan. laver), y. Oiilil de m.’iron |)nur gArlier. || Spatule Je liAlissier. — I)t*r. Odcher, ydcneur, gûilipii. r, gnihi.1 . f/ilclioir. 2. likCHF. lesp. iili/unzn : ar, raiM, gond, ^ :àche) serrure : l^ver une gâche. || Anneaux de fer scellés dans un mur pour attacher un tuyau de descente, etc. «iÀCIIEH [gdchf 11. rt. Délayer du mortier, dn plâtre : Gâcher lâche, serré. - - Fig. Mal faire un ouvrage : C’est un mauvais ouvrier, il gâche tout ce i/u’il fait. J| Avilir en travaillant à trop bon marché : Il gâche le métier. «ÀCHKTTE (dm. de gâche 2), ,>/. Pièce d’une serrure servant d’arrêt au pêne. || Pièce d’une arme à feu portative qui fait partie soit de la platine, soit du système de détente. Son lier, en s’engageant soit <lans le cran de la noix si l’aniie l’st piiiirvue d’une platine, soit dans le cran du chien si le niécaiiisine de fermeture de cidasse renferme le système («rcntenr, maintient le ressort au bandé. Pour faire partir le coup, on agit sur la gâchelle pour la dégager ilu cran de l’armi ! par l’intermédiaire de la détente. (iACilKlIH {gâcher) , sm. Ouvrier qui gâche le mortier, le plâtre : Vn gâcheur de mortier. — Kig. Homme qui travaille mal, sans goût : Cet écrivain est un gâcheur. || Ouvrier qui travaille à un prix inférieur au prix ordinaire. {| Celui qui piviicl les mesures pour un charpentier on un menuisier. <i.V( :ilEi ;., EUSE [gâcher], nâj. Délicnipé d’eau, bourbeux : Chemin gâcheur. (i.icillS {gâcher}, sm. Mortier fait de chaux et de sable. | l Boue déin-nipée, las d’ordures fangeux : nues iileiiics tte gâchis. — Fig. Situation, affaire embrouillée et désagréable : Se débattre dans un gâchis inc.rtrica/Je.
- (i.i( :iI«>IR {gâcher), sm. Sorte de tonneau
dans lequel le potier de terre mélange les matières premières de la pâte. «iAt- . IM .Y (I.A), 1680 hal>. Ch .- l. de C, air. lie 'Vannes iMi>rbihan), sur l’AlT. (•A4 :ON (François) (I667-172.")), rinieur satirique français, auteur du Poète sons fard. 11 s’attaqu.’i à Biiileaii, à Kontenelle. etc. U.D, septième lils de Jacob. Il donna son nom à une tribu d’Israël, située à l’E. du Jouiilain. (iAllE in. yirMi). sm. Famille de poissons malaroiilérygiens.donl font [Kirtie les morues, les merlans, les nierlnes et lis loties ; l.csgadcs snnt (l’une ejrirémc fécondité. — l’etle famille compiend un nombre considérable d’espèces ; les poissons qui lui appartiennent ont généralement le corps allongé, mais atténué ver» la queue ; I» Ht» wt a«*^ piwwe et la ptirtile largement ou i les mers, les ment dans lli peut être cou famille. Quel.|.. eaux douces de l Kurop,. ti du lAni-nque. UADK (NiKi.»-Oiiu.*i’»iK , com|>ositeur distingué, né a CoiM-nhague en 1817, Il succéda à Mendelssolin ronime directeur de» concerts de tieœanil llaus de I . ii.m . k II est actuellement inaitre de U ri, de Dai lark et directeur de 1 concerts de Copenhague. (iAlti-’ïS, anc. nom de Cndir. I .e déir. de Gibraltar se iionimail «utrefut* IJetri>,i de Gndès. GAlHIITAnO {gadoue), sm. Vidangeur. UADOIIK (t), sf. Kngrais fait avec le contenu des fosses d’aisances : ht fmudrette agit moins i/ue la gadoue. Boues et un niondiees des rues servant d’engrais. — I>«>r. tladouiiiil. UAÉI.IUIJE lOaèl), adj. t g. Qui appartient ili la race des Oaels ou Oalates qui ont doiiné leur nom aux Gaulois, |,a bramlie gaélique des langues néo celtiques mnipri-nd trois idiomes : le gaélique irlamlais, le gaéligue ico.isais ou erse, parlé dans les Hautes Terres de l’Kcosse, et le mnnx. idiomi’ de l’ile de .Mail. — Or. On écrit quelquefois gaélic,.v/n,,quanil il s'agit d'une iie> langues gaéliques. 6AEL8 ou fîAM.S, l’un des noms par lesquels on désigne les Calâtes ou Kgmris, iieuple bl.md et dolichocéphale qui envahit le N. de la Oaule au commencement de’l'àge du fer et iiiii>osa son nom à toute la contrée. (V. tiaulnis, Gaule et l’article France. GAEHTNEK (Jo.sbph (1732-1791). botaniste allemand <iont l’ouvrage le plus important a |iour titre : De fructihus et seminihus jjlantarum. GAETAN (saint (1480-15*7), fondateur de l’onlre des ’l'héatins. Fête le 7 aoikt. GAETANI, illustre famille romaine, issue des princes lombards de Oai^te. GAiiTE, ItinOOhab.. ville forte et port d’Italie, sur la Mi’dilerranée, dans la province deCaserte. I .e pape Pie IX s’y réfugia en 1848 et l’ex-roi de N.iples François 11 en 1861. GAFFE (gaél. gaf, croc sf. Longue p<’rcho terminée par une pointe de fer munie d’un crochet latéral et dont on se sert |iour manipuvrer une emliarcaiion lorwin’elle accoste un navire, un quai, ou lorsiiu’on vent la faire déborder <le ce navire ou de ce quai : Virgile dit intc Caron dirigeait sa ftargue avec une gaffe. - Dér. Gaffer. GAFFÉIl gaffe . vt. Aceroeher avec un. gafl’e : Gaffer un cnrii.i ft’tltant. (iAtiE, svm. de gager. Objet iléposé chi , quelqu’un |K>ur garantie de ce qu’on lui doit : Emprunter sur gage. — Fig. laisser fxnir gage. |>.’rdn ;. |] Ihnner des gages, des sùn tés. y Meuble ou iniineuble qui assure I p.tycment d’une dette : l.es meiif’-- ’• ’•• taire .lont le gage du profiriel les jeux de société, objet qu'on ii> on s’est tnmipé, et qu’on ne peut rcpniidie qu’après avoir subi une pénitence : honnir un gage. — Fig. Preuve, témoignaL-e, garantie ; Ce cadeau est un gage il’amitié. — PI. Salaire des domestiques ; Dans certaines prouinres, les gages se fHigent ii la Saint-Jean. Il Homme à gages, payé pour foire une chose. Il Kn mauvaise part, applauilisseur à gages. Casser ipielgu un au.r gages , le priver di’ son emploi et de ses appoinlcmeni" GAGER (bl. wadiare], rt. Parier : Gai/’ cent /’r«<ici. Il Accorder un salaire à : tiag’ • un homme mur faire une chose. — fJr. G devient ge devant a, o : n. taL’eons. - Dér. Gage, gageric, gageur - ; ’ 4’.dm|i. Dcgai/ci . il. gagement. i nn .i.jr, ^ GAGEItîl , .t/’. employé (Inns l’eipressioii rie, celle qu’un pronriétaireelTeciiie -an^ jugement pour loyer (l’une maison, d’une ferme. « !.GET, sm. Nniii >mI.’ "••• du p-ai. GAtiEITIt. EI’SE ’/ Qui gaire, qui pane : C’est un / iir . GAGEURE [ga-ju-rcj ^giiger . sf. Promesse de payer quelque chose si l’on perd (ÎAI. 775 un pari : Je fait gai’urr ,,u’il iJruira de-’Ir . 1 II KKI <I7«4-III34 , imptoTimaiew > [Ilenx talent poar ’^ i’i I . < ’<ii ’. 49.Qui ’ ll< rtl Mtll GAGNANT, AN I i au jeu, à la lolei des gagnant» H dtt /gaifnanl. < : r.r f . Vdj. f,m MM en vers. On rue le Sllieùle, !•• ’. lUIl Von mil ses H lêfre tin i>ail cpi.’U-r, en ’li s’est (ail cou-GAUNK-IfENIKK U<’9»<^ * denier), tm. Celui qui gnrnr sa vie du travail <ie ses 1’ l.ei débardeurs, deniers. — 11. t. L’onli. ll.M ll til. le , Perdre nim ifigne /hI" pour en faire vivre <l être le gagne pain de m inimité. - ori giigne-fHiin. tiAtiNK-PKTIT {i/iigner + petit, peu). Tm. Hémouleur ambulant : Ije ifagne-prlit rogage uonenl teul et gHelguefoii en famille. — n. /Wi7. «t.iIi ; jan, u.. . gani/ner ,1 iv.iii, VHA. treidangibier : Le cerf >, moyenne, les oie par jour à Pan ’. , vivre. — I»rov. I 1 1 1 ^• roUJOCRS o.»ONIC, il ’.> iln’yapasqueil- - un profit au jeu, i i . loi. Il Gagner quelgu’uii. lu. ii ar- gent au jeu. Q Obtenir un a .iré : llagner un prij- . II ’ lutte : Gagner une Jtil riter : Il I ii A"-.i . ;,(./, jiaradis, ne paradis, y ’.
1 :"iee» qui > quérir : il" ,
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iendr»*fa»oi Son exeiiifile niu Corronii"-» - : " .les ,. mm. Gagner m . les devante quelqu’un /• prévenir. | Kam- de» [ jus- qu’à : Veau gagna le , At- teindre, en pariant d’ui ’i temps : La faim, la iv |l.....>i,r iiw.i :i..n>' Ir ’ ’ ’lllp
- «(«. Mi-t -inr itrlil, le^ii.jHer. rej/rtiH.
(•AtiNKI’H ifogner . tm. Celui qui jr»»ne ; ’.' . ’ •’. I,VI •.
. IIA. gâki. vif , • lli ..L „- ;. . h’tliitur ’iixi ’ I," la gaieté : < <•». avoir un pc . •. •» poMe d«» troubadour». U CArto/ joi, f»iM bHd« ni mU*. (Blas.) - Oai ! inlerj |»>ur
