Page:Larive - Dictionnaire français illustré - 1889 - Tome 1, part. 3, franch-hyst.djvu/24

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riALANTERIK — GALRE. 777 du xvo aiècle qui u tenaient dan» let boiii. — Ki(f. Ch leit aillant, un hommo entrepraniiiit. — Gr. liulanl liuiimir. huniiuf-Froliu et huuiii’tn ; Homme (/olant, (ii (ail iiiiiirilile. — DOr. Galamment, galantm, yatiinterie, (jaliiiilner. iiXLKXTKHlF. {(/alant sf. rolilcsae, distiuctiuu ilau» 1<’ !4 iiiaineri-s

Ai/ir aver galanterie. | | Soiu qu’on nn-nd iiourplairti : Lei t’ranç/ih ont un funiï de yalanlerie qui se répand ftarloiit. Moi.iicrk^ || l*ni|M>» flulteurs : V ne jfline fille ne / jK^n- lire aux i/aliintenes qu’un lu ’i-tit |pii’scut ; Offrir aiu : ilamei i/j.. .., . . .„ ,.i lii n-Irries. OALANTIN (f/alant), sm. Homme ridicu- |. nient (,’iilaut : Faire le i/nlantin. GALANTI.XR lil. i/alaliuu pour gelatina, ^•laliiiHI, «/. Volailli ! «iiSsosséo dont on eoniwrve la peau intacte rvni|>lie d’une farre l’aile de veau, de lard gras, de poro frai*, assaisonnée et iriilTée, ri que l’on fait cuire en dauljc : t’ne dinde en i/alantine. || )%paule do M’aii prH|iaré( ! de mèim- : La i/alanline de rriiii se rend riiez let eharculiert. tiAI.AN’I'ISKU c/iilant), vt. Traiter arec uni» tralaulcrie alVeriee : Un vieillard qui yulantise une jeune dame est ridicule. UALAI’AtiUS ^ii.Ksl [lies des Torluest . archipel volcanique presque désert de l’ofèan Pacihque, situe sousVéquati’ur, à I OOOkilom. à rO. de la cote de la répuMique de ’Èquateur, à laquelle il appartient. Ces lies, qui présentent ensemlile une superflcie d’environ 1B43 kilom. carrés, sont dispersées sur une surface marine de fiTSOO kilom. carrés ; les principales sont : Alhemarle, Indef’atii /a/ile, S’arborough, James ou Santiago, Chatham et h’ioreana. Albemarlc et Narborou ^h sont recouvertes de laves récentes. La véf,’étalion de tout l’arcliiiMd est très pauvrc.et l’on n’y trouve ni fruano, ni houille, ni phosphates de chaui, ni aucun métal exploitable ; mais il est peuplé d’une immense quantité de gros reptiles, tortues, lézards et seriienls qui en font la région du monde actuel la plus semblable aux terres émergées de l’époque jurassique. C’est aux énormes tortues qu’on v rencontre, et dont quelques-unes pèsi’iit 600 à 100 kilogr., que larclipel doit son nom. GALATA, le plus grand faubourg de Coiislantinople, à l’entrée et sur la r. g. de la Corne d’Or. C’est le siège principal du commerce européen dans la capitale de la Tunpiie. «GAI.ATB iOalafie), adj. et t. t g. Habitant de la Oalati» : Les datâtes, suivant saint Jérôme, parlaient encore gaulois au iv» siècle de notre ère ; mais peut-i’lre saint Jérôme s’est-il mépris et faisnieni ils usage d’un idiome germanique’.' — GiM,n,n} plur., se prend souvent comme synonyme de liants, tialls, Kymris, Belges, et désigne alors les eupics dolichocéphales, de grande taille, londs et à peau blanche qui vinrent s’établir dans le N.-K. et dans le N. de la France au commencement di ; l’âge du fer. Ce sont eux qui ont fait donner à notre pays le nom do Gaule. Il parait qu'ils venaient de la t>alatic où une parue de leurs descendants alla se Axer après le pillage du temple de Delphes et le désastre qui s’ensuivit pour elle (280 av. J. -C ;. OAI.ATÉK, nymphe de la mer, flll« de Nérée et de Dons. Elle fut aimée du cyclope Polyphèine, mais préfera le berger Acis. Holypli<nie, irriié de cette préférence, lança un énorme rocher sur Acis et l’écrasa. GALATIIC [ga-la-ciej, contréo anc. de 1 .sie Mineure, séparée du Pont-Kuxin par la l’aphlagonie, arrosée par lo Sangarius et rilalys, cédée on 2’Î8 av. J .- l’. par Nicodème 1", roi de Bilhvnie, aux bandes gauloises qui avaient pillé Delphes en 280 av. J.-C . et qui prirent le nom de Gatate.i ou Gallo-Grecs. Toujours on guerre avec leur» voisins, alliés d’Antiocbus le Grand, ces Oaulois furent réduits à l’impuissance par les Romains m 188. et Auguste. ÎTi av. J. - C . . Ht de la Oalatio une province romaine. Villes principales : Pessinonte. Ancyre. Tavin. — En Asie, dans la région montagneuse où sont les sources de l’Amou-Daria, existent quelques tribus de cultivateurs, les Ohaltchas. nICT. LAKIVK KT riXURT. — 1 IVIl. 1I. t doDt Ira oinginns >8 ratlacbcraimt aux Oallo-Orers de la Oatatie. <iAI.ATX, 80000 bab., ville d« Uoumanis, sur la r. g . ilu Danube ; ch.d* fer sur U»y, Lenilicrg et Uucharest. Commère»- comiide ruble. Kiitrepdt et mai.’aoin* d« lérealei Port le plus importa : lUc. UALAXII- : (g-’ » « ;, cenle lactel. sf. .Nouj de la ., r.. UAI.ua (de 4 av. J.-C. a 69 ap. J. C. siiièinu em|iereur romain, de 68 A 69. Il fut massacré au Korum par les prétorimu, aprta sept mois de règne. (iMIlAM ’^t ! • ’.. .. ...^ -- ; . ---»^„ sen /,. gr.ii . , . 11- liâtre, leiutu, duuee de prtipiielen aiitiupaamodiquea et employée comme un siicc4><laiié de Vas.fa firtida. On la tire d« iiyrie et de Perse et on la croit produita par deux plantes de la famille dles OmlMllifére* le ferula galbnniflua et lo ferula ruln GAI.IIR ivx fr. garlie : de lital. -, tm. ( !unk SfJ« ioit «a uweliMi an* pvnoaoe aaj ’ ^’ eooeteai liaM U Ut J- O. Gllb*. - U. Axe du vaM. I) i ;li> C0I.OSSC AC I.lKn»>Ti»rli.nI»<. IKM-Iltnaihli. QU<t. ~ CO». OBlti« : lljrnfl rnavntàl’aiUrlMr. 5^’ X %/ OAL*Ul«  lour du fût d’une colon ne.d’un ornement d’arcbi lecture , d’un vase, •te. : Vate d’un lieau galbe. Tête d’un gai fie régulier. || On donne plus paniculière- ment le nom de galli« au renflement qui existe dans le fut d’une colonne grec- que vers le tiers de la hauteur i partir de la base. — l>ér. Onllié. «GALBÉ, ÉE (galtie), adj. Se dit dune colonne dont le fut est renflé vers le niili<Mi. {{ Feuilles gai bées, celles qui ne sont qu’ebaii chées, sans ornement. tArchil.

  • GAI.Bi ;i.K (. yahiulum ,

tm. Nom donné aux fruits des cyprès, île» genévriers, des casuarinées et des protéacees. GALK idb. de galle : du 1. galla. excroissance qui se développe accidentellement sur certains végétaux et qui résulte de la piqûre d’un insecte), sf. Maladie de ta peau, es.sentiellemeDt contagietise, caus^ par l«  sarcopte ou acarut de la gale, tris petit insecte de la classe des araignées, diftlcilement visible à l’o-il nu, dont la femelle se creuse dans l’épaisseur du derme dos galeries dites sillnns dans les<]uels elle pond ses œufs et où elle séjourne habituellement. La gale est caractérisée par des démangeaisons qui deviennent beaucoup plus vives ta nuit par l’action de ta chaleur du lit, par des boutons ou vésicules à base rosée et à siir :i" - v parde iietius sillons I auels se trouve bal’ e sarcopte. Les vuMcules .sont piuduiio* par un liquide venimeux que te sarcopte lemetlo verse

! 

’ • àlapeau.V(u• ves et aux n> ni^ derme s.tns l’entamer et ne causent tout au plus qu’un léger prurit ; mais ils sont les principaux agents de ta coDtairion qui a lieu par le contact mMiat ou immédiat. On preml SALI •AMCom ou ACAUva emu aaladi*. «Oit d’un bbImk, Mil eala m MaaMuit 1* et les v4iMn«BtB doM U • lait tum^f» oti • •’en revêtant. Au détet, U nia «ppunit dans les c<mnm wuf M dâu dwgta, Mv iMr face latérale, au pli du poigaet qui Ml du eàté de U paiiiM de Ut maiB, au iJMallM, aux piads, mu pwtiM mémiùlm, un wê^ maUaç. He« à paa alla aavaUl loai» te tmaee da U paaa, U iMa aiMaUa. Soupçon nAe damiia iimgtemaa. I« esaae da b déOoiUvMMit iMeonvana à Par>> sur les iodieationt da Kanuoei, jrnne «tu diant en mMaeiaa. oriffitMiM «la b Conv. qui avait appris )«• malronae da ttm p«ra • extraire le» Karcoptes svee te poiMa dllM aiuuille. Avec un peu d’allMlMM 0* «ant ajMTcavoir te reoaUa du MMopU i l’cM «. Son corps paat «ira wnaritriiwiiit cowpatd " c.i .ii d’una tortaa. il aat pht an daMOM. en deana. looff aa mtntuo» da Itote . >>re dixitaiM de mUlimiira et large d’un tiers environ. La mAto, petit, n’a ^lère que d’us dixièMe* da limAlm de longueur sur tip iiaraiti-e ; mai* lam.I’ ’ lal s enqii. ,. te traitement : à l’hApiial, dit iiipoaia de ’ flaur ’e da j.

fric- tion avec riiude de ci’ benthine ouatée un ui’ . d’huile d’olive et de 3 granii : nique rnsiallisé. Le sarcopi’ l’homme peut vivre sur din< ...i. sur le cheval, la pure, le chèvre et sur lias carnassiers et te lion ; mais, à l’axeepiK demiersanimaui,laiauli«i. I alTeclés, ne peuveot transm* ’ qu’une gale fugace et qui d’< rstt spontamiment nn moy.v soins. La gale ei>t le mouton et la c ciaux. La mode maux est aoaloeu’ contre la gala bni

ta gale aux dents, il <nt grand u. tire mécltanl commt une gale, Mt chant. Il Matedia des végétai. par daa rugoaiUs qui appât rorce, sur les feuilles, sur le> i „ .’ ._^ du bois résultant de Dosada. da liwn da vers. Il Inégalités i U surikoa dSma <to4b. — IMtr. Galeux, galer. GAI-B (TaoMaa) (lOft-llOI). énMiit aai. - bis. nrolesseur de grec à Canbndfre, jmus a Londres. Il a publié daa éditioo* da JaMtdique. illlén-Mlote et de riréron et " ’ des*»/ ’itkmet «SAI.l • le Piwrdi iiisle«  lu des Al . ;«». CTa* un vêt-

  • ét»

en cha ’«ta- nnée* eu (’ deiiti-es ilaii sait ai : au th-’ UAI.tUS><l VII V’ I galèr»- , tf •- 1m gille.l .tse rtftit armer lie ronoiif. I. auALÉK ^bl. ifaltm),*f. Nomaaciaada