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GALONNEH GALVANOMKTHK. 781

1,-tiip r.AI .ONNKR(anglo««(iM’//i/ ,<t. Hi«rili«r, diiiei’ lit- ^’aloii.s

haltmni’r un cha/M’au, un hiihil. -Se galonner, vr. S’orner ili- gnion*. I)<’r. linl’in . ijalonnier, f/ninnnrr. — l’.oilip. th’ifiiliiuurr.

  • (iAI.OMICIt i/alonnrr , jnn . FalirirnDl

tli- ^ .mIoii !! : /,(•( ;/tili)nniers et Ifs rxilmnnirrs. (iAI.OP [j ;:i-l..|, srm. de i/alofirr. I,’alliir<* 1.1 p !ii« raiiiile il’iin rhersl : Au granil i/uliifi. - PrOV. V>'KN m I.KR I.K 0HM> OAl.OI- A i.’hAriTM. , afjir, «<• conduin- <lc fjiooii A «e niiiiiM- |iroiii|it«’iin’iit. -- Ki(.’ . (nurir If ijalop, r.iire une cliiim- pit-olpilainiiiciit. |{ Ki( :iir« île • lansi- cxt’ciitéi’ (t’uii niniivcnn"iit tros Ttf : /.»’ i/alfiji fst une des liijurm ilu i/uailrillf. |{ Ail’ Kur l«"<|iii>l on <ian«« le pili>|>. || Ki>priinaïKlf ; Urrfvith- un ffnlop. ^rnp.) (iAI.OPAI)K ’/(7/’)iKT^,.t/’ AriKiiLinanii-rr ilr j ::il()poi’ : ’<ilii’ rheval a um- hrllr tjaloiniih. Il Kspare paivoiir» en gniopanl. liAI.OPANT, AXTE ii/itloiirr , nilj. Qui ^’alopi’. Il l’hlisif iiiiliijMinte. phtisie pulmonaire dont la inairlie est très rapide. (.Nlfid. (iAI.OPKIt (^roili. lia, pfx. + hiaupnn. courir), vi. Aller le Kalop : Ce rheval galope hien. Il Marcher trè* vite : Je ne pouiaif le «Kirir, InnI il ijalopait. — Vt. Faire aller au ualop, poui-auivi-e : (ialiii>er un rheial. Galoper un prh’innirr eriiile. — Kig. Tmirnien. ter : Lu lierre le ijalofie. -— l)^r. tlnln/i, i/al’ipnnl, i/alopin. i/iili>iHi(le. UAI.OPIN l^yaloper). ,»w. Petit commissionnaire VDijer une jiiir un i/aliipin.

l’elil marmiton il II ne maison royale : Autrefois, ile.K giilnpin.1 tournaient la lirorhe. l’etitdrolo : Toux les ijitlopinn ilu i/unrlier .luiraient la mascarade. «JAI.OrnET (.r , . f in. l>eti(« flûte A trois trous, à lier, munie d’un porte-vent, dont on joue de la main (tanche tandis quon frappe de la droite sur un tambourin : le f/ahiuliet a un son rliiir et nitju. OAI.SWIXTIIIC iSH-

>G81 ,

lllle d’Athanagildc, roidi’s'isi^’o|hs, soMir de Uruneliaut. deuxième femme de Chilpéric (iiii la (il i’tranj.’lerà 1 instigation (le Kr>'di’j :onile. <îAI,lIi :ilAT(dunoni de l’inventeur), jm. l’i'au d’une espèce de raie dont on recouvre <les boites, des étuis, etc. : l’n ecrin en ijaluchat. — l.e galuchat à petit grain provient de plusieurs espi^ces de squales ; le galuchat à gros grain est fourni par l.a raie pastenagiie qu’on pioche dans la mer Kouge et dans la mer les Indes. «AI.VANI (A1.01SK)) (n37-t798), médecin, .’inatoniiste et phvsicien italien, né à Bologne. Il observa, en f/iM, les mouvements convulifs qu’éprouve une grenouille morte quand >n (ait commiiiiii|uer ses nerfs lombaires ivec ses pattes an moyen d’un compas formé l’une branche de cuivre et d’une lu-anche de zinc ; il conclut de ce l’ait que les animaux sont doués d’une électricité particulière, et crut même avoir déroiiveit le Biiidi’ uerviMix. Il était réservé à Voila île déterminer la cause du phénomène observé parOalvani. - ti<^r.<lairanii/ue,fialranii/uement,r/aleanitmr, i/alraniser, f/alrani.mliim. — Comp. Halranonit’lre , i/nlranoplastie, galranolhifri-pie, i/alranoti/per. GALVANIOÙE inalvani^ , adj. i 7. Qui produit un courant d’élertricité tel que celui iliiengendrent les piles électriques : Apfxtreil ijnhaniiiuf. Qui est produit par un courant électrique, qui résulte de l’action d’iip courant de cette nature : La décomposition d’un sel melalliifue par la pile est un ph^ noméne t/alruniaue r<msiitanl en rr i/ue Ir métal contenu dans le tel ra s’atlarher au pi}le nefftitif dr In pitf, fnndr* tfw l’rtrule du ’ . irn , r.ii >i it Uiir .., ,

a- dire lie la decompiiKitioM ,i|. rant de la pile, decomp.’ telle sorte une l’or ou largeiil m la surface (l’un autre métal honiootale •lupcndiM à • U o« Mipporter |Mir un p(«"> I- ’ -011 qii’«B* m aMU* «n croix «vr. .,n ie M «ewrwil. L» g4lvaauiu-’ «impie eoMitU M NM •la ii.( ..,M) à adhérant -" ’ ’iel ol- • .1 I*- negatit tl’une pile lin bain pr«i>ar4 le cblode cya- lans ce eny d’une manière intime. I’ . • - ’ en cuivr>' pur, en laiton. . lechort, en argent, ou h’ - . voir bien déc.ipé, au nide de Daiiiell , plongé iiaiis avec . ’ iU litres d’eau, TM rure d’or siriip<Mix et un I uiin- de potassium. On l’a : hsin le piMe positif de la même pile terminé pnr une Innie d’or qui se dissout .à mesur>' que le bain s’apiiauvril. De la sorte ce dernier conserve une composition constante. 1-e bain est r - f ms une capsule do porcelaine cli un fourneau. I.a couche d’or i|Mi

sur l’objet est d’allant plus ép.’tisse que celui-ci est soumis pendant plus longtemps .à l’action du courant électnque. I .’argenture galvanique a lieu de la même manière, seulement il ne faut pas chauffer le bain. Pour la composition de celui-ci, on emploie 250 parties treau, S par-I. S» TIUMS kATTUK» bC 04LOr, OALOP OC CHEVAL D’AraAs LM raoTooiuniiR» tssTAUTftiili* CALOUBCT lies de cyanure d’argent et 10 parties de cyanure de potassium. Il va sans dire qu’au |»Me positif de la pile, on met une lame d’argent au lieu d’une lame d’or. Pour dorer ou |Miur argenter un objet qui est en fer, en acier, en zinc, en étain ou en plomb, on coinnienc49 par le recouvrir d’une légère couche de cuivre au moveii de l’action de la pile sur un bain de sulfate de cuivre ; puis on o|>ère de la niéine manière que si l’objet était en cuivre pur. I,e procède de la dorure ou de l’argenture du cuivre par la pile a été découvert en 18i0 par le professeur genevois de La Rive et p«rfectionné la même année par deux Anglais, Henri et (îeorges Klkington ; il est maintenant appliqué en Fiance avec une rare [wrleclion |)ar la maistin Christofle.

  • GALVANIQUEMENT ( galranif/ue +

sfx. nient , adr. Kn employant l’action d’un courant électrique. GALVANISATION {gahaniser), sm. Action de galvaniser. || (lalranisalion du fer, nom inipropnr de l’opération iiui consiste à recouvrir In fer <runo couche de zinc qui le garantit de l’oxydation. Cette opéniiiou s’effectue tout simplement eu plongeant le fer dans un bain de zinc fondu. Un derrait plutôt l’appeler zinrai/e. «JAI.VAMSEH Oalrani). ri. Rleclriser au moyen d’une pile : (ialvanisrr un cadarrr. — Fig. Communiquer une énergie, une rigueur, une vitalité factice et ipii n’est que p.assagère : Halrnniser le fu-u de courai/e d un poltron. Il tialrani.ier le fer, le plonger dans du zinc en fusion pourempécherqu’il s’oxyde. tiAI.VANISMK (îiilrani, nom proprel, sm. I . ’opinion de Gahani sur la cause des mouvements (lu’il provoquait sur le cadavre d’une grenouille. (V. Élerlririte.) || I. ’électricité dynamique, ccst-tk-dire celle qui prend surtout naissance |>endant les decomposilionschimiqueselpriMluilce que l’on est convenu d’appeler un mUfiinl. (•ALVANO.MËTIti : Halrani + g, (itTpov, mesurel, sm. Appareil de physique qui sert A constater l’existence d’un courant électrique et ! mesurer l’énergie de ce courant. Il est fomlé sur la propriété que ponède un courant d’agir sur une aiguille aimantée • AL VAMOaCTMl AMClUAa AtTtlI^t ;» aiguille aimanté» ; placn à rinl*n«ar d’un cadm de Ikus autour duquel est eortMiM an i iiibre d« fou nn Al de ruitit soi*. Dès qn’oB met Im ( !• 1 i...... -I l -’ ce m «a eowmi’ioiion : p6les d’itne pil«, on Toil 1 1’• giu .1. ramnuKM 111..1 1,0.11 ii..i .’i»tiqui’ Oïl ..liit -nt un galvanomètre beaucoup ^1 que le précédent, en adoptikiil suivante. A un lil de -t A Tertical F de cuivre •’ aiguilles aiii contraire. I enroiil.’ !.

! 

plus 11 11’ ’ trou du ftOll* IU 1 1 lll que l’aiguille inferivuru Ail’ m tiuuvo lUu* rinlérieur du cadre, tandis que l’aiguille supérieure Au est uii peu au-dessus. Kntre l’aiguille su- périeure et le cadre est placé liorixontalement uu cercle de cuivregra due qui |iennei de mesurer la déviation qu’é- prouve le système des deut aiiriiill,’» l<.r<qn’nn courant traverse le ’ Avant de sMaervirilii ; cercle gr ;i raiil. I.rs mouvement < 1 plus grand que »’ir 1 .ÏHJ’l'Iie .tiui iilir*’, "Il « ->* »• »•>• p**vanomèir » dont l’aignille pen< p.s<>MMnr t— OALVAMOatTM*