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Page:Larive Fleury Grammaire 1910 tome 4.djvu/173

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PARTICIPE PASSÉ. 159

quo nous avons (vu) passer paraissaient {harassé). — Les amis que le maître du cliamp avait (prié) de venir l'aider à faire sa moisson n'avaient pas (i1aif/né) obtompiTor à sa domando.

4. Los v»"'tements que nous avons (donné) à reteindre ne seront prêts quo dans trois semaines. — Voilà les premières hirondelles que nous ayons (vu) arriver cette année. — Autant do fossiles nous avons (aperçu), autant nous en avons (recueilli). — Avoz-vous (apporté) les provisions que nous avions (oublié) do prendre. — Les vendanges ont été (achevé) plus tôt que nous ne l'aurions (cru). — Personne n'a (approuvé) les familiarités qu'ils se sont (permis). — On n'a pas de reproches à adresser aux gens qui ont (fait) tous les efforts qu'ils ont (pu). — En vain la pauvre Cassandre aurait (annoncé) au.\ Troyens" tous les malheurs qu'elle aurait {voulu), ils n'y auraient pas (ajouté) foi. — Ceux qui ont (exploité) ces mines n'en ont pas (retiré) tous les bénéfices qu'ils avaient (espéré). — Les espions que César avait (envoyé) explorer le pays ennemi rapportèrent des renseignements très complpts. — Le peu de progrès que cet élève avait (fait) lui ont (valu) le premier accessit.

5. Los anciens poètes se sont (plu) à peindre une époque de bonheur et do prospérité qu'ils ont (nommé) l'âge d'or. — Les Grecs du temps d'Ho- mère' s'étaient (imat/iné) que la terre était ronde et plate comme un disque et qu'elle était {environné) de toutes parts d'une mer à laquelle ils avaient (donné) le nom de fleuve Océan. — Les liquides que l'on chauffe en vases découverts acquièrent une température fixe (passé) laquelle on ne peut plus les échauffer. — Une seule plante (excepté), tous les végétaux monocotylédones* de nos contrées sont herbacés. — Vous remettrez au destinataire cette lettre ainsi que les papiers (ci-joint). — Vous trouverez (ci-joint) copie de l'acte que vous avez (demandé). — Vous avez (ci-inclus) la quittance de votre fermage.

Exercices de rédaction.

1. LE CHIEN DE TERRE-NEUVE ET LE ROQUET (Fable).

Vn chien de Terre-Neuve* et un roquet vivaient amicalement dans la même maison; décrivez leur vie commune et leurs jeux. La gourmandise vint troubler l'accord : le gros chien venait de saisir une friandise parmi les rogatons qu'on leur abandonnait. Colère du roquet qui tente de s'en emparer. Le possesseur furieux veut punir l'agresseur, mais par pitié il l'épargne. Le roquet repentant veut à plusieurs reprises renouer avec le terre-neuve ses anciennes relations d'amitié (Discours direct). Refus du gros chien. Le roquet en sèche de douleur. Voyant le triste état de la pauvre bête, son compagnon consent à oublier ce qui s'est passé. Exposer la double morale que l'on peut inférer de la conduite des deux animaux.

Q. UN ENFANT A SON PERE (Lettre). Le jeune Louis que son père a mis dans une pension pour qu'il y fasse des études aussi complètes que possible apprend que par suite de pertes considérables ses parents se trouvent dans la plus grande gêne. Il leur écrit aussitôt, demandant à quitter la pension pour chercher un emploi quel- conque. Il espère pouvoir de la sorte gagner de l'argent plus vite, ce qui lui permettra de soulager la détresse de la famille.

3. RÉPONSE DU PÈRE DE LOUIS (Lettre). Le père de Louis répond à celui-ci que la famille a été touchée jusqu'aux larmes en prenant connaissance de sa proposition ; mais on ne veut pas l'accepter. On s'imposera quelques privations afin que Louis puisse ter- miner ses études. On espère qu'il s'efforcera de profiter des leçons qu'il

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