Page:Larive Fleury Grammaire 1910 tome 4.djvu/410

La bibliothèque libre.
Cette page n’a pas encore été corrigée

396

��MET

��MOY

��filli' cil' l>!iili|i|>r <l'()rl<:iiis et nii'cc de L..I11S XIV.

MajîiHter. ilmilili I : mnilre.

Maitr<- 4l«'N (lieux et des lioiii- iiio» h' . Jupiter. -Mvlb.)

Mallicrbe (Krarivois de) lAio-1028,) ]...• I. l\Tri|ue franeais. (Voir p. 341.)

naiielie (le clievalier de la), don* Qui' . iriillc.

Mani'IieHter, eélébrc ville nianufaclU' lir re d'Angleterre, dans le comté de Lan- .■;kIit.

Mitntono 'le eygiic de), Virgile'.

IWaradion, bourg de l'Attique où les .Mli> iiiin--. l'oiiiniandés iiar Miltiade, batti- rent les l'crscs, V.IO av. i.-C.

Marins il53-K(; av. J.-C), fameux génc r.'il romain qui délit les Teutons et les Om- bres ilans les années 101 et lOi av. J.-C.

narnioiitel (ITia-l'Uli), éerivain cl lillirateur français.

Maroc (empire du), le plus oeeidental (lis 1 i:iis barbares(iues, vis-à-vis de l'Iùspagiie

M a rot 'Clément, 'lVJ4-lo4l;, poète Iran rais Viiir Li«., p. 3i0.)

Marotique, <i'^'. se dit d'un style par lei|Mel on affecte d'imiter le langage de Clé ment Marot, poète du xvi' sicele, et qui exprime, au moyen île vieux mots, des ilinses sans imporlani'e. (Voir p. 3i0.)

MarH, lils de Jupiter et de Junon, dieu de la guerre ; se dit <!i' la ijuerrc même. iMytb.j

Martel, doublet : marteau.

MatériallHiue, sm. système de pbi lisiipliie, qui consiste à nier l'cxislenec di I .une.

Maures, nom sous lequel on désignait n moyen àgc les Arabes conquérants de

I Ispagiie.

Maximnin, xm. la plus grande valeur ipie pi ut prendre une quantité variable.

Meanx (l'aigle dei. Bossuet *.

Mécène (il av. J.-C), ( jnseiller et prin- ■ ipal ministre d'Auguste', protecteur des arts ri (les lettres, et surtout dco poètes Horace'

II Virgile". l'ig. l'n Mécà::, un protecteur <li-s arts.

Médian, diiublel : -.iioijcn.

Mégalillii«ine, adj. i ij. se dit de tout munument ((imposé de .;;rosses pierres brutes, et dont l'érection est Cittribuée a des peuples ayant liabité l'Kuropc avant les races indii-iiirdpéenncs.

Mégère, l'une des trois furies, divinités infernales cliargées de tourmenter les cou- (labli s dans le royaume de l'Iulon*. (Mylb.) Kig. l'itnmc très mdhantc.

Menlilr, sm. bloc de pierre brute, plus long i|ue large, fixé verticalement en terre cl dont on allriliuait l'érection aux Gaulois.

Mentor, personnage fabuleux, ami dl - hssc. et conseiller de son lils Téléma(|uc.

MenntHier, sm. ouvrier qui fait des

ubles, des boiseries. Ce mot dérive de

iii'niiiii'r, couper iiieim.

Mercnre, dieu de l'éloquence, du com- loeice cl des \(ileiirs. i.Mylli.)

MeHHa^ère den I>ien7i (la) Iris larc-cn-cicli. Mytli.)

Métalloïde, .sm. corps simple, e'esl-à- dire iiiil(ciiin|iosable, dépourvu de l'éclat métallique, mauvais conducteur de la cba- leiir cl de l'('lcclricité.

MétnniorplioNe, ff. cliangeinrnt de forme. Ce mol s'ap|ili(|ue dans la niytbologie aux prétendues Iransformaliuiis d'Iiommes en animaux ou en plantes.

Méton (v s. av. J.-C), astronome athé- nien.

��Métonymie. Voir Tropes, n. U8.)

Mexiqne, vaste contrée de l'Amérique septentrionale, au sud ouest des Ktals-Unis. Ca|i. Mexico.

Mejerbeer (IT.U-IKOi). célèbre compo- siteur (le musique d'origine allemande.

Mézeray (llH0-II*3j, bistoricn français. Voir Lin., p. Hiti.)

Michel de l'Hôpital ii:ii)f>-l"i3), sage et intègre magistrat, chancelier de France sous les Valois.

MidaH, roi de l'brygie; ayant préféré le talent musical de Pan à celui' d'Apollon, ce dernier transforma ses oreilles en oreilles d'âne. — Le barbier de Midas, que ses fonc- tions avaient initie à l'infortune du roi, ne pouvant en garder le secret, le conlia aux lo- seaut qui, agités par le vent, répétaient : " Le roi .Midas a des oreilles d'àne ». iMytli.)

Mille, sm. mesure itinéraire en usage dans divers pavs; le mille anglais vaut Itib'.i m.

Millime, doublet : millième.

Miltoil lJohn)(lGU8-IU7.ij, célèbre poèlc anglais, auteur du Paradis perdu. Il euni- posa cet ouvrage étant déjà aveugle, ce qui la fait désigner sous le nom à' aveugle d'Aï- bion. Voir Litt., p. 318.)

Minimum, sm. la plus iietite valeur que peut prendre une quantité variable.

MiniNtre. I.c ministre dont il est ques- tion page 3"i est Kicliiiieu. Voir l'orneille, p. ^«4.1

Mobile, doublet : meuble.

Modène, v. de l'Italie septentrionale, aiie. 1 ap (In ilui In' du même nom.

Module, ddiililct : inouïe.

MoÏK<-. Il -islaleur ins|iiré du peuple de Dieu ;i:(j.".-l>;o a\. J.-C).

Molaire, doublet : meulière.

Molière (Jean-Baptiste Poquelin de), i Iii±i-iri73!; le premier poète comique non seulement de la France, mais de tous les pays et de tous les temps. (Voir p. 347.)

MoIlUHQue, sm. tout animal sans ver- tèbres, non annelé. à corps mou, comme l'Iiuitrc, le colimaçon, etc.

Moniale, vieux mot, vie monastique; Moniage OuitUiutne, vie monastique de Cuillauine.

Monocotylédone, adj. 2 g. se dit de tout végétal (|ui a une véritable graine non partagée naturellement eu deux moitiés comme l'est celle du liaricot. On reconnaît les végétaux iikiiiih ilvli doncs à ce que les nervures de leur.s feuilles sont |iarullèles.

Monaieur, titre |iar lequel on désignait le Irere cadet de chaque roi de la branche les Hourhons de France. 11 s'agit ici de Phi- lippe d'Orléans. Ircrc de Louis XIV.

MontCNquieu liislt-i;.v,\ président à mortier' du parlement de (iuyeime, illustre ( irivain et phiUisoplie françai's.i Voir p. :i3t.)

MontpeilMier (Mademoiselle de' nu simplement .W,/./. m.ii.vc//e Ilii7-M!03\ nile de (iaston d'Orbans. frère de Uinis XIII. de- vait épouser Lan/un. mais Louis XIV s'op- jiosa à ce mariage après y avoir consenti.

Moreau ,llcgésippc< (tsio-lH3(i), poète français mort à l'Io'ipital de la Charité, à Paris.

Mortier (président à), ^ranil président d'une cour de justice : il avait pour insigne de sa dignité un bonnet appelé mnrtier.

Mou. doublet : mnl.

MouHNe blanche, relie dont il est question p. :tK'i est le lii hcn d'/.v/(im/c.

Moyen âee, le temps qui s'est écoulé depuis l'an i'G jusqu'en liS3 de notre ère.

�� �