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Page:Larive Fleury Grammaire 1910 tome 4.djvu/411

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(iiiili’iir riiugc, produile par une

phmlf oiiniii:iii-o ilc l’Arabie et de l’Abyssiiiic.

ilI,Vlliol»a:i(’, s/’. Reieiicc ayant pour oliji’ù'i’iiiilc ilrs mythes des païens.

NjiplOM, grande ville (ritalic, ancienne cap (lu niv;iiiiiii’ de Napirs, prés du Vésuve.

Narval, .w". «’"i ’•'■ iii;iiii"iiléie marin de la raïuille des ilaiiphins, .li.iit une esnece, la iiiiintc tic mer, purle a lexlréiuité de la niàelioire supérieure «no corne ou dont de cini| inélres de Ion;/;.

Natal, ailj. (|ui a rapporta la naissance, où l’on est né. I)i)uldet : Nocl.

NatioiiH (l’aiioire des), saint Paul, qui eonverlil les (leiUils au eliristianisme.

Natif, doublet ; miif.

Nautile, .•./». (Voir Arijonaule.)

’St’fU.ff (l7:f-2-lW)i), né à Genève, contrô- leur v;i’uéral. puis ministre sous Louis XVI.

Nègi’e, doublet : noir.

Néologisme, sin. locution ou expres- sion nouvellement introduite dans une lan^îiie.

Ncptuin-, frère de Jupiter, dieu de la mer ; se prend en poésie pour la mer

Norwiinlf, village de Bei;;iiiue où le niaréclial <lo Luxeinbourg défit Guillaume III en lima, et où Dumouriez fut battu par le prince de Saxe-Cobour^ en 17’J3.

Neutre, adj. 2 g. et sm. (lit. ni l’un ni l’autre), tîenre de noms qui, en grec, en latin, en allemand, etc., ne sont ni masculins ni féminins. Logiquement, tous les êtres jiour les(|ucls la dislinctiou des sexes n’existe pas, devraient être du genre neutre; mai il s’en faut de beaue(m() qu’il en soit ainsi dans les langues prceilees.

Newton (Isaac), très célèbre matliénia- tieicn, pliysieicn et astronome anglais (I6i"2 •17-27).

Nil, grand neuve de l’Afrique orientale qui arrose l’Egypte et la fertilise en l’inun dant périodiquement.

Nonscavance {non-sçavoir), vieux mot signifiant folie.

Nopal, sm. nom eoiiiniun à diverses planteii qui servent à nourrir la cocbenillc.

Norinaiulie, ancienne provinee de France sur les bords de la MancUe.cap. Rouen.

Oc {lani/iic d’}, ou provençale, langue que l’on parlait en Krance, au moyen âge, au midi de la Luire et qui tirait son nom de la niauière dont on exprimait dans cet idiome le mot oui.

Oïl [lanijue </’), langue que l’on parlait en France, an moyen âge, au nord de la Loire et qui lirait son nom de la manière dont on exprimait dans cet idiome le mot oui.

01yini>iq.ue!4 (jeux), célèbres jeux de l’ancienne (Jreec, (|ui se célébraient tons les quatre ans ii l’ise ou Olympie, ville d’Élide (Pclo|ionèsc).

Opéra, sm. littéralement : ouvrajje : pièce dramatique faite pour être cliautee : momi nient où l’on représente les opéras.

Opérer, doublet : ouvrer.

Oraison funèbre, discours solennel prononcé en cbaire après la mort d’un per- sonnage, et par lequel on fait l’éloge de ce dernier au point de vue de ses vertus cliré- tienncs.

Orateur romain (T), appellation par laquelle on désigne Cicéron’.

��Orfaverie, anc. forme du mol orfé-

Organe, doublet : orgue. ,i

ONHian lie barde écossais), roi d’Kcossc l léli’bie liarde ou poète, vécut au ini-’ siècle.

Ou, anc. forme de l’arliele contracté au, ou dit est écrit pour eu dit.

Oxygène,»™, métalloide’ ga/.eux ne- •essairc il la combustion et ii la respiration, •nlre dans la composition de l’air et dan» •elle de l’eau.

��Pactole, rivière de Lydie qui roulait des paillettes d’or. (Mytii.)

I*aiH (i syllabes), sm. ancienne ortho- graphe de pai/s.

Pal, sm. pièce de bois aiguisée par un bout.

Palais, .sm. édifice où l’on rend la jus- tice à l’aris, tout édifice analogue.

Palatin (mont), l’une îles huit collines comiiriscs dans l’enceinte de Kome. Palme, doublet : paume. Panama, ville et port de la Nouvelle- Grenade, qui donne son nom a l’isthinc joi- gnant les deux Américiues.

Panégyrique, sm. éloge soUuincl des vertus d’un saint, qu’un prédicateur pro- nonce dans la cbaire.

Pannonie, région de l’ancienne Ger- manie, correspondant il la partie S.-O. de l’cmiiirc d’Autriche. Papyrus, doublet : papier. Paradoxe, sm. toute opinion contraire à l’opinion commune, et qui, par suite, pa- rait invraisemblable à tout le monde.

Parasite, adj. 2 g, et sm. se dit d’un animal qui vit sur un autre et aux dépens de celui-ci ou d’un végétal implanté sur un autre et puisant la sève de ce dernier.

Paré (Ambroise) (1517-1590), illustre chirurgien surnommé le Père de la chirurgie.

Parlement, sm. cour supérieure de justice, qui sous l’ancienne monarchie jugeait en dernier ressort, enregistrait les édits, etc.

Partîtes, peuple du plateau de l’Iran, qui devint très puissant pendant les premiers siècles de l’empire romain.

Pascal (Blaise) (lfi-2;t-l(’.()2), célèbre mathématicien, physicien et écrivain français. (Voir p. 3-25.)

Passion, sf. toute impression physique ou morale reçue par un sujet.

Pasteur, doublet : pâtre.

Pastourelle, sf. poésie provençale qui est orilinairement une églogue dialoguée entre un troubadour et un berger ou une bergère.

Pélasgique, adj. 2 g. qui appartient aux Pélasges, très ancien peuple de la Grèce et des autres parties du S.-E. de l’Europe.

Pélion, montagne de la Grèce en Thessalie. Les géanis voulant escalader l’Olympe (séjour des dieux), tenlèrcnt d’arracher le Pélion de sa base pour le transporter sur rOssa.lJlvth.)

Pénultième, 01/7. 2 g. avant-dernier.

Périclès (HI4-42’.) av. J.-C), illustre homme d’Etat athénien; donna son nom à l’un des quatre grands siècles littéraires (p. 3-23).

Périer (François du), d’une famille de magistrats et l’un des beaux-esprits du temps; venait de perdre sa fille.

Péripatéticien, ienne, adj. qui appartient à l’école philosophique fondée par Aristote’.Ce mot est formé du mot grec peripatein. se promener, parce qu’Aristote