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Page:Larousse - Grand dictionnaire universel du XIXe siècle - Tome 12, part. 2, Path-Phel.djvu/270

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PERft

chacun d’eux dit ce qu’il doit dire et l’ensemble produit un résultat des plus heureux. Moderato quasi andantino.

Cher pa - tron, Vo - tre maison Est heu-reuse Et glori - eu-se ! Que ce bouqxict, S’il vous platt, Soîtle ga-ge De l’hûm ■ i^^É^l^i

ma-ge., Que l’on rend Au vrai ta- îent ! Cherpa gmÊSÊmËË^

tron, Ouit votre nom, Dans l’histoire, Aura sa

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glol-re ! Fié-chl - ncl Re-çut du ciel Le ge" - nie A- vec la *"’- " ; Dans son

art, Il est ù part ! Cher patron, Votre mai ÊÏÏ3333

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son En dé - Il - re Vient vous di-re : Que oc

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bouquet. S’il vous plaît, Soit le ga- ge De l’horam

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aa-go Que l’on rend Au vrai ta HÉîigiÉIl^p

— lent ! Ah ! mon soi - gneur, Ah ! cher pa

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tron, Ah ! quel bon - neurPourla mal— son ! Ah ! mon sei - pneu r, Ah ! cher pa tron, Ah ! quel bon - neur Pour la rnai tr tr i^^^mm^m^i

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— son, Ah (quel hon-neur Pour la mai-son !

PERRUQUIÈRE s. f. (pë-ru-kiè-re — fém. de perruquier). Femme d’un perruquier : Ce nouvel Adonis a la blonde crinière Est l’unique souci d’Anne la perruquiére.

Iïoileau.

PERRY, comté des États-Unis, État de Pensylvanie, limité à l’E. par le fleuve Susquehaunnh ; 540 milles carrés ; 20,000 hab. Cheflieu, Bloomfield. Le territoire de ce comté est montagneux ; il est arrosé par les rivières Juniata et Scherman’s. Le sol est fertile et produit en grande quantité le froment, l’avoine, le foin et le maïs. On y élève un nombreux bétail. L’industrie y est représentée par des manufactures de laine, des fonderies de fer, des forges et des tanneries. On y exploite plusieurs mines de fer. Il Autre cou : tô du même nom, dans la partie O. do l’État d’Alubama ; 950 milles carrés ; 22,000 hab. Chef-lieu, Marion. Ce comté est arrosé par les rivières de Cuhuwha et d’Alabuma. Lu première est navigable pour les bateaux à vapeur. Le sol est fertile et produit du coton, du maïs et des pommes de terre. Le commerce y est très-actif et de nombreuses tanneries, forges et fonderies de fer y sont en pleine activité.

PERRY (Claude), littérateur français, né à Chalon-sur-Saône en 1602, mort à Dijon en 1684.11 quitta la profession d’avocat pour entrer dans les ordres, devint chanoine de Chalori, se tic admettre dans l’ordre des jésuites et professa ensuite les humanités et la rhétorique à Dijon. On lui doit : Poesis pindarica (Chalon, 1641, in-12) ; Icon régis in III libri (Paris, 1642) ; Thëandre ou Semaine sainte, par dialogues (Lyon, 1553, in-4o) ; Histoire de Chalon (1G50, in-fol.).

PERR

PERRY (Jean), ingénieur et voyageur anglais, né dans le comté de Glocester vers 1670, mort en 1733. Il était capitaine de vaisseau lorsque, ayant perdu son navire, il fut condamné par la cour de l’amirauté à dix ans de prison et 1,000 livres sterling d’amende. Le czar Pierre Ier étant venu en Angleterre en 1698, lord Carmarthen lui recommanda Ferry comme un marin habile et qui pourrait lui être d’une grande utilité soit pour équiper une flotte, soit pour exécuter des travaux dans le but de rendre les fleuves navigables. Le czar prit alors Perry à son service, l’envoya à Astrakhan et le chargea de faire percer un canal destiné à mettre en communication la mer Caspienne et la mer Noire par le Volga et le Don. Mais le manque d’hommes et d’argent ne permit pas à Perry de terminer ce gigantesque travail. Use rendit, vers 1702, par ordre du czar, à Voroneje pour y construire des bassins et des chantiers de construction maritime et rendre la Voroneje navigable pour des vaisseaux de 80 canons ; bientôt après, Pierre I« le chargea d’examiner les cours d’eau voisins de Saint-Pétersbourg, afin d’établir une communication entre le Volga et le lue Ladoga. Cette tâche terminée, Perry, qui n’avait encore touché qu’une année d’appointements et qui voyait toutes ses demandes ajournées à la fin de la guerre contre les Turcs, se décida à retourner en Angleterre (1712), où il construisit des digues, dessécha des marais, etc. On a de lui : Règlement pnur les’marins (Londres, 1C05, in-4o) et État présent de la /lussie ou De la Moseouie Sous le csar actuel, avec une description des mœurs, de la religion, etc., tant des Busses que des l’artares et autres peuples voisins (Londres, 1716, in-8", avec carte). Cet ouvrage, qui a été traduit en français par Hu- gony (La Haye, 1727, in-12), fait bien connaître la Russie au moment où Pierre Ier commença ses réformes.

PERRY (Jacques), publiciste anglais, né à. Aberdeen en 1756, mort à Brighton en 1821. 11 abandonna l’étude du droit, par suite de revers de fortune, pour occuper un emploi dans une maison de commerce de Manchester, puis se rendit à Londres (1777) et se fit journaliste. Après avoir collaboré au General Advertiser et a YEvening Post et publié des vers, des brochures qui furent remarqués, Perry fonda l’European Magasine (1782) et prit, l’année suivante, la rédaction en chef du Gazetteer, dans lequel il donna une grande extension au compte rendu des débats parlementaires et qui, pour ce motif, obtint une très-grande vogue. Par la suite, devenu très-riche, il acheta le Morning Chronicle, qui devint entre ses mains l’organe le plus autorisé du parti whig. Perry entra alors en relation avec un très-grand nombre de personnages distingués et ne se fit pas moins remarquer par la fermeté de ses convictions et de son désintéressement que par son talent.

PERRY (Mathew-Galbraith), marin et diplomate américain, né dans le Rhode-Island en 1795, mort en 1858. Il entra dans la marine en 1809, prit part à la guerre de 1812, fut charge, en 1819, d’aller choisir sur la côte d’Afrique le territoire où fut fondée la colonie de Libéria, reçut, en 1833, la mission de visiter les principaux arsenaux de l’Europe, commanda, en 1840, l’escadre envoyée dans le golfe du Mexique et prit part a la prise de la Vera-Cruz. En 1852, le commodore Perry fut mis a la tète d’une expédition chargée d’ouvrir le Japon au commerce des États-Unis, d’établir des dépôts de charbon, de choisir des ports de refuge, et fut muni de pleins pouvoirs pour traiter. Au mois d’avril 1853, il arriva avec son escadre à Hong-Kong, explora les archipels de Loti-Tchou et de Bonin et jeta, le 8 juillet, l’ancre devant la ville d’Ouraga, dans la baie de Yedo. Le gouverneur de cette ville invita Perry à se rendre à Nangasaki, place désignée pour y traiter ce qui concerne les affaires étrangères ; mais le commodore déclara qu’il ne s’y rendrait point, qu’il était porteur d’un message du président des États-Unis et qu’il le remettrait soit à un des principaux ministres de l’empereur, soit à l’empereur lui-même, à Yedo, sa capitale, et donna un délai de trois jours pour obienir une réponse du gouvernement. L’empereur répondit à cette sommation eu envoyant le prince Idzu auprès de Perry. Celui-ci lui communiqua la lettre dans laquelle le président des États-Unis demandait au gouvernement japonais d’établir des relations commerciales entre les deux pays et lui annonça qu’il reviendrait au commencement de l’année suivante pour recevoir une réponse. Le 11 février 1854, le commodore Perry revint, en effet, dans la baie de Yedo et eut avec cinq commissaires du gouvernement japonais des conférences qui amenèrent la signature du traité de commerce du 31 mai 1854. Par ce traité, les Japonais ouvraient au commerce américain les ports de Simoda, en ldzu, d’Hakodadi, en Jlalsmai, garantissaient aux naufragés un traitement favorable, etc. Après avoir signé un truite du même genre avec le gouvernement des Iles Lou-Tchou, Perry, qui avait montré dans cette expédition les qualités d’un marin habile et d’un diplomate, îevint aux États-Unis, où il fut emporté par un accès de goutte M. Fr. Hnwks a publié un intéressant et remarquable récit de cette expédition sous le titre de Narrative of the expédition of the american squadron to the

PERS

China seas and Japonperformed in the years 1852, 1853 and 1854, under the commaud of commodore M. C. Perry, compiled from the original notes and journats of commodore Perry (Washington 1856, in-4o).

PERRY (Caroline Coronado, dame), femme de lettres espagnole. V. Coronado.

PERS, PERSE adj. (pèr, pèr-se. — La nuance que l’on désignait jadis sous le nom de pers doit san» doute son origine à quelque sub.-tance colorante que l’on tirait de la l’erse. Toutefois Du Cange, suivi par M. Littré, le fuit venir du lac. persicum, pèche, prétendant qu’il y a de l’analogie entre la couleur perso et celle de la pêche, ce qui nous parait peu fondé. ^Ménage a recours au grec praios, poireau ; mais ici le passage de prasos a pers semble difficile). Sa dit d’une nuance de bleu particulière : Des yeux pers. Chaperon de couleur PERSE. (Acad.)

Minerve aux yeux pers, La déesse aux yeux pers, Expressions par lesquelles les poètes ont traduit l’expression homérique Glaukopis Athênê :

Tout le reste entourait lo déesse aux yeux }iers. La Fontaine.

— s. m. Drap bleu pers. : Un manteau de

PERS.

PERS (Thierry-Pieterszoon), littérateur hollandais. Il vivait dans la première moitié du xvno siècle, exerça la profession de libraire à Amsterdam de 1620 jusque vers 1650 et s’adonna avec succès à la poésie. Parmi ses ouvrages, écrits en flamand dans un style agréable et enjoué, nous citerons : Bellérophon ou le Goût de ta sagesse avec diverses poésies morales (Amsterdam, 1626, in-8o) ; les Miracles de Bacchus (Amsterdam, 1G28) ; l’Aigle romaine (Amsterdam, 1624), histoire abrégée de Rome ; VAigle embarrassé et le lion consterné ou Origine des troubles des PaysSas (1647, in-4o).

PERS Y RAMONA (Magin), littérateur espagnol, né à Vilanova-y-Geltru en 1S03. Il apprit le métier de tailleur d’habits et, a l’âge de dix-huit ans, se rendit dans l’Ile de Cuba, où il fit fortune. Il s’appliqua alors a l’étude des lettres et des sciences et, de retour en Espagne, ouvrit à Barcelone des cours publics sur les découvertes récentes des arts et des sciences. On a de lui les publications suivantes : l’Art du tailleur ; État politique et moral de l’île de Cuba ; le Temple de la Gloire, poème ; l’Emancipation poétique ; Grammaire catalane- castillane ; Manuel de phrénologie à la portée de tout le monde, etc. Il a, en outre, traduit en espagnol le Manuel pratique de magnétisme animal d’Alphonse Teste,

PlïtlSAÏM, ville de l’Inde anglaise, dans le Pégu, ch, -I. de l’ancienne province de son nom, sur le Persaïm, brus occidental de l’Irouaddy, à 200 kilom. S.-O. de Pégu. Les maisons, bâties en bois et en nattes, sont élevées sur des poteaux de 7 à 8 pieds au-dessus du sol, afin que la marée puisse s’étendre librement et enlever les immondices dont cette ville serait encombrée sans ce moyen. Il y a un port où les navires arrivent faeilement. Cette ville était autrefois plus importante ;" durant les guerres entre les Pégouans et les Birmans, elle fut brûlée.et depuis elle n’a plus recouvré son ancienne splendeur. Les Angluis s’y établirent dès 1757, mais sans pouvoir alors s’y maintenir.

PER SALTUM loc. adv. (pèr-sal-tommexpr. lat. qui signif. par saut). Dr. canon. Sans passer par les ordres intermédiaires, par exemple si l’on est fait prêtre sans avoir reçu le diaconat : Les ordinations fer SaLTUM sont absolument prohibées.

PERSAN, ANE s. et adj. (pèr-san, a-ne). Géogr. Habitant de la Perse moderne ; qui appartient à ce pays où il ses habitants : Les Persans. La langue persane. Les Européens prennent tous les citoyens persans pour des magiciens à cause de leurs bonnets pointus. (Bolivar.) Et le Persan Buperbs est aux pieds d’une Juive.

Racine.

— s. m. Linguist. Idiome des habitants de la Perse moderne : Il n’y a plus dans l’Orient musulman qu’un seul dictionnaire, composé d’arabe, de turc et de persan. (Renan.) Le persan moderne est une des langues les plus pauvres en flexions qui existent. (Renan.)

— Loc. adv. A ta persane, À la manière des Persans, comme en Perse : Dans les villes et les parties du pays les plus civilisées, on s’habille généralement k la pkrsane. (Ey ries.)

— AllUS. littér..Comment peut-on dire Por.auï Exclamation qui termine une des pages les plus spirituelles des Lettres persanes de Montesquieu. Cette locution est si pittoresque, si souvent rappelée et la lettre qui lui sert de cadre est un modèle d’observation si juste et si fine, qu’au lieu d’en donner une sèche analyse nous n’hésitons pas à la citer tout entière.

Rica écrit, de Paris, à son ami Ibben, à Smyrne : « Les habitants de Paris sont d’une curiosité qui va jusqu’il l’extravagance. Lorsque j’arrivai, je fus regardé comme si j’avais été enviiyé du ciel : vieillards, hommes, femmes, enfants, tous voulaient me voir. Si je sortais, tout le inonde se menait aux fenêtres ; si j’étais aux Tuileries, je voyais aussitôt un cercle se former autour de moi ; les femmes môme faisaient un arc-en-ciel nuancé

PERS

de mille couleurs, qui m’entourait. Si j’étais aux spectacles, je voyais aussitôt cent lorgnettes dressées contre ma figure : enfin jamais homme n’a tant été vu que moi. Je souriais quelquefois d’entendre des gens qui n’étaient presque jamais sortis de leur chambre, qui disaient entre eux : ■ Il faut avouer qu’il a l’air bien persan.» Chose admirable I je trouvais de mes portraits partout ; je me voyais multiplié dans toutes les boutiques, sur toutes les cheminées, tant on craignait de ne m’avoir pas assez vu.

Tant d’honneurs ne laissent pas d’être & charge : je ne mo croyais pas un homme si curieux et si rare ; et quoique j’aie très-bonne opinion de moi, je ne me serais jamais imaginé que je dusse troubler le repos d’une grande villo où je n’étais point connu. Cela me fit résoudre à quitter l’habit persan et a en endosser un à l’européenne, pour voir s’il resterait encore dans ma physionomie quelque chose d’admirable. Cet essai me fit connaître ce que je valais réellement. Libre de tous les ornements étrangers, je me vis apprécié au plus juste. J’eus sujet de me plaindre de mon tailleur, qui m’avait fait perdre en un instant l’attention et l’estime publiques ; car j’entrai tout à coup dans un néant affreux. Je demeurais quelquefois une heure dans une compagnie sans qu on m’eût regardé et qu’on m’eût mis en occasion d’ouvrir la bouche ; mais si quelqu’un par hasard apprenait à la compagnie que j’étais Persan, j’entendais aussitôt autour de moi un bourdonnement : « Ah 1 ah ! monsieur est Persan ! C’est une chose bien extraordinaire ! ■ Comment peut- on être Persan ? »

Cette interrogation exprime plaisamment la surprise que fait éprouver l’aspect d’une personne appartenant à une classe ou à une nationalité qui excite notre curiosité.

« En 1G69, Mahomet ÎV envoya Soliman-Aga en ambassade à Louis XIV ; il fit à Paris un séjour de dix mois, pendant lesquels son esprit et sa galanterie firent tourner la tête à toutes nos grandes dames. « Quoi ! disaient « ellesavnntMontesquieu, monsieurestTurc ? Comment peut-on être Turc ? » Et toutes s’empressaient de lui rendre visite. »

BOITARD.

« Ce qu’on dit un peu complaisamment des gondoliers de Venise chantant les octaves du Tasse serait plus vrai des gens du peuple, en Perse, récitant les vers de Eerdousi. On trouverait peu de postes, dans notre Occident, qui jouissent d’une pareille fortune. Cela n’empêche pas qu’il nous semble fort singulier qu’on soit si célèbre quelque part et si inconnu chez nous, et nous serions tenté de dire à ce poète étranger, comme les Parisiens disnient à Rica dans les Lettres persanes : « Ah ! ahl monsieur est Persan ; c’est une chose bien extraordinaire. Comment

« peu(-o) ! être Persan ?

« Des personnes instruites, du reste, sont portées, faute de notions précises, à ne voir dans l’étude de ta longue chinoise que l’amusement d’une vaine curiosité, tout au plus l’inutile mérite de la difficulté vaincue, ou une sorte de manie bizarre comme le goût des magots. On n’oserait s’écrier ; Peut-on être Persan ? car on a lu Montesquieu ; mais on se surprend à penser : Peut-on êtré Chinois ! Quelle estime faire alors d’une vie vouée tout entière à l’étude d’une langue et d’une littérature auxquelles on attache si peu d’importance ? »

Ampère.

t Mainte femme vertueuse éprouve un sentiment de curiosité à connaître une femme d’une autre espèce. Lorsqu’une cantatrice entre dans un salon, j’ai remarqué d’étranges regards tournés sur elle. Ce ne sont pas les hommes qui l’observent le plus. Vous-même, madame, l’autre soir, aux Français, ne regardiez-vous pas de toute votre lorgnette cette actrice des Variétés qu’on vous montra dans une luge ? Comment peut-on être Persan ? Combien de fois ne se fait-on pas des questions semblables ! »

MÉH1MBE.

PERSAN (Pierre-Nicolas-Casimir db), littérateur français, né à Uôle en 1750, mort dans la même vide en 1815. Il servit avant la Révolution dans la maison militaire du roi, s’udonna en même temps à l’étude des belleslettres, de la diplomatique, de l’archéologie, fut détenu pendant quelque temps pendant la * l’erreur et parvint à gagner la àuisse. De retour en France, il fut nommé membre de l’Académie de Besançon (1S09) et conservateur d’une bibliothèque publique qu’il avait contribue à former dans sa vilie natale. On lui doit : jVoa’ce sur la ville de Dote (Dole, 1806, iu-S») ; Becherch.es historiques sur Dole (Dole, 1809).

PERSAN (M»e DOOBIBT DE), fculttW de lettres française. V. Doublet.

PERSANO (le comte Charles), amiral italien, né à Vercelli en 1SOG. Il soitit An benne