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Page:Larousse universel, 1922, I.djvu/1042

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musulmans de is un mécontentement re se traduit {dans l'Inde et en Egypte surtout) par des manifestations et des résistances de plus d'un genre, sinon par des révoltes. Enfin les convoitises britan- niques ont amené l'Angleterre à vouloir ajouter à son immense empire colonial des territoires très étendus qu'elle a quelque difficulté à absorber ; mal- rs tous ses efforts pour dissimuler son empire sous HE) les plus voilées et les plus variées tout à o!

Le Royaume-Uni de Grande-Bre: e et d'Irlande forme une e constitutionnelle. Le pouvoir exécutif y appartient au roi; le pouvoir législatif à devx Chambres : la Chambre des lords (ou Chambre haute) et la Chambre des communes (ou Chambre

— Littér. L'histoire de la littérature anglaise ne

commence qu'après la conquête normande. Elle ne compte d'AbOrd'que des ballades populaires ou des

sèdde

vi deubl'you èkse ouat


Alphabet anglais (nom des lettres).

imitations de trouvères français. C'est au xive siècle ue la joe TL conquiert droit de cité avec e poème de William Langland, les Contes de Can- FAX du poète Chaucer, la traduction de la Bible iclef. Dans la suite, la production est peu Féconde qu'au siècle d'Elisabeth, qui est l'âge d'or de Ja lit anglaise, L'écrivain précieux Lily, le romancier Philippe ST, le poète Edmond Spencer, de nombreux poëtes lyriques, et le philo- sophe François Bacon illustrèrent cette époque. Mais elle est surtout féconde en auteurs dramati- tiques : Marlowe, le William Shakespeare, Ben Jonson, Beaumont et Fletcher, etc. Puis, dans la première partie du xvue siècle, se distinguent, les sateurs, les moralistes Burton, Browne, ‘alton, et le chaudronnier Bunyan, le grand mysti- ges de l'Angleterre protestante ; et, pe les poètes e puritain John Milton. Après la Restauration { }, qué caractérise l'influence du goût français, les plus notables écrivains sont les auteurs drama- tiques Dryden, Otway, Wicherley, Farquhar, Con- pr le te Samuel Butler, les philosophes obbes et Locke. Le goût français continue à prédo- miner pendant la première moitié du xvme siècle avec , J: Gay, Prior, Edw. Young. Mais l'originalité

de la race se manifeste avec les essayistes Addison et Steele, les humoristes Swift et Sterne, les roman- ciers De Foë, Richardson Fielding, Smoleit, Gold- smith, le critique Samuel Johnson, es orateurs Pitt, Fox, Burke, les philosophes Adam Smith, Reid, Hume, les historiens Gibbon et Robertson, l'auteur dramatique Sheridan, Dans la seconde moitié du siècle, le goût se porte vers les origines de la littéra- ture nationale, d'où les pseudo-poèmes de Macpher- son (Ossian) et de Chatterton. L'amour de la nature s’éveille chez les descriptifs : Thomson, Thomas Gray, l'Ecossais Robert Burns, William Cowper. Il s'afürme au début du xix® siècle chez les trois akis- tes : Wordsworth, Coleridge et Southey. La généra- tion romantique compte les noms des grands lyriques Byron, Shelley, Keats: des romanciers W. Scott, Godwin, Jane Austen, A. Radcliffe, Lewis ; de l'es- sayiste Lamb:; du critique Hazzlitt. Le règne de Victoria et l' uëé contemporaine n'ont pas été moins féconds : citons les romanciers Disraeli, Bul- wer-Lytton, Dickens, Thackeray. les sœurs Brontë, G. Eliot, Meredith: Thomas Hardy, G. Moore, R. L. Stevenson, Rudyard Kipling, Mrs, Hum- ques Ward, . Wells, Conan Doyle ; les poètes bert et Elisabeth Browning, D. G. Rossetti, Tennyson, Swinburne ; l'auteur dramatique B. Shaw ; les D PAC Ans Carlyle; les criti- ques d'art Ruskin et W. Pater; les critiques litté- raires Saintsbury et E. Gosse; l'écrivain catholique Newman ; les philosophes Stuart Mill et H. Spencer.

— Sciences. La Grande-Bretagne a vu naitre de nombreux savants, surtout dans le domaine des sciences physiques et naturelles ; AE les princi-

citons ysique et la chimie: Guil- Tuns Gil Isaac Newton, RE Davy, Michel CAGE ES Wheahstone, William Robert (Gro- ve). John Tyndall, William Thomson (lord Kelvin), William Ramsay, John Rayleigh, etc; parmi les astronomes, John Herschell, Halley Edmond, David Brewster, John Norman Lockyer, etc; parmi les natu- ralistes, Bacon (François de Verulam), James Hut- ton, William Buckland, Charles Lyell, Ch. Darwin, Archibald Geikie, ete.

— Bz-arts. Archit. On peut distinguerdeux grandes périodes dans l'architecture anglaise : 1° la période romane; 2° l'architecture ogivale. Dans la période romane, la forme allongée du plan, les grandes cou- pures horizontales des élévations, le style tranchant de l'ornement impriment à l'architecture un carac- tère militaire plutôt que monastique. Les cathédrales anglaises d'époque normande ont été, en général, re- maniées plus tard. Avec l'ogive, l'Angleterre réussit à créer un style national. Le plan ogival se modifie : les nefs se réduisent à trois au maximum. Le chœur s'allonge tellement, que souvent il égale la nef. La Cathédrale de Cantorbéry représente le style primaire

ival anglais. Le xive siècle vit naître le style orné { Écorated), Le xve siècle a vu l'avènement du style

ù none avec ses broderies étonnantes (cha- pelle de Henri VII). Dans la seconde moitié du xvie siècle naquit lé style lourd et brillant qu'on

appelle le style Elisabeth. En 1621, Inigo Jones im-

PT Tarchiiécinre de son pays le style réglé de

jo, qu'il avait étudié à Vérone. En 1700,

Chr. Wren pose les fondements de Saint-Paul. De

nos jours, l'influence de Ruskin et de l'architecte Pu-

gin à amené une renaissance du gothique anglais,

— 1029 —

Parmi les principaux architectes de l'Angleterre moderne, on peut signaler Ch. Barry, E. Street, G. G, Scott, sir Horace Jones et Wolfe Barry, Phi- lippe Webb.

— Sculpt. L RS RIRE n'est pasun pays de sculp- ture. En 16519, un Italien, Pietro pe pere l'habileté de son pays (monument de Henri VII, à Westminster). Cetle tradition continua quelque temps, mais on n'a jamais pu dire, même de nos jours, ile eût une sculpture anglaise. Il est juste, toutefois, de citer Gibson, Flaxman, Chantrey, Thornyeroft, Westmacoit, et plus tard Onslow Ford, CCC G. Frampton, Gilbert, Leighton, Fo- ley, ete.

— Peint, Henri VIII fut, au point de vue de la pere le François Ier de l'Angleterre. 11 fit venir

sa cour des Italiens : Girolamo di Trevisi, Luca Penni ; des Flamands : Corvus, Horebout ; enfin, Hans Holbein le Jeune, de Bâle. Toutefois, jusqu'à Charles Ier, de tels exemples ne parvinrent pas à créer des peintres anglais. Charles fe retint auprès de lui Rubens et Van Dyck, — Le premier repré- sentant de l'art indigène est William Thornhill, peintre d'histoire. La véritable école anglaise limi- tée, mais profondément originale, a pour point de départ la galerie Shakespeare, fondée par John Boydell, ct commence véritablement au xvine siècle avec cet artiste si pénétrant et si expressif : Willam Hogarth. ue lui, on voit paraitre les grands por- traitistes : Reynolds, Gainsborough, Romney. Les peintres Beni, West et Copley représentent, avec des tableaux d'histoire, la rénovation classique. Au xixt, on peut distinsuer trois périodes : la première (de 1800 à 1851) est illustrée par le triomphe de l'école du portrait, avec Thomas Lawrence, Raeburn, Hoppner, et du paysage, avec Constable et Turner, Bonington, tandis que la peinture de genre est cultivés par Leslie, Mulready, D. Wilkie, Landsecr. La seconde période, qui se développe de 1851 à 1882, est caractérisée par la lutte des préraphaëlites contre le classicisme et contre l'art de la lenaissance, par le culte des pri- mitifs et une esthétique conforme à l'esprit anglo- saxon. Le préraphaélitisme est fondé par les peintres Holman Hunt, Millais, Dante-Gabriel Rossetti : il est encore illustré par Burne-Jones, Ford Madox Brown : dérivant du même mouvement, mais avec des tem- péraments très divers, Waits Leigthon, Poynter, Or- chardson, A. Moore, Alma-Tudema, Herkomer, Fr. Walker manifestent les tendances les plus opposées. Le mouvement préraphaélite fut nccompagé d'une remarquable renaissance de l'art décoratif, conduite par William Morris et Walter Crane. La troisième période, de 1882 à 1900, est caractérisée par l'indivi- dualisme dés artistes, et aussi par l'influence de l'art continental. Citons les portraitistes Shannon, Greif- fenhagen, Lavery. Guthrie, Sargent ; les paysagistes David Murray, Waterloo, A. East, Julius Olsson, Wilfrid Ball, Moffat Lindner, A. Hartley, Charles Eastiake, J.-L. Henry, Adrian Stokes, Arnesby Brown, Bertram Priestman; le peintre rural Clausen ; les peintres de genre Brangwyn, Stanhope, For- bes, etc.

— Musig. La musique anglaise n'offre aucun ca- ractère d'originalité, et n’est qu'un reflet affaibli de l'art musical de la France, de l'Allemagne et de l'Ita- lie. Les origines de l'art musical en Angleterre sont


très obscures. Le premier traité important de musi- .

que, le De speculatione musicæ, remonte au xmie siècle et est dû à Walter Odington. moine bénédictin d'Evesham, Henri VII et Henri VIII encouragèrent l'art musical. Henri Purcell (xvue s.) est le premier qui ait écrit des opéras anglais, et le plus grand compositeur anglais de son temps. C'est surtout à Hændel que l'Angleterre doit ses plus grands progrès dans la musique. 11 fit, en effet, connaître aux Anglais l'oratorio et la véritable musique dramatique. Quant à l'opéra anglais, il n'a jamais été que secondaire, bien que certains musiciens nationaux s'y soient exercés. La musique religieuse surtout est cultivée avec prédilection par les Anglais, mais en imitant de près Hændel et Mendelssobhn. Citons les noms de Fisher, Hook Wesley, Cramer, sir W. Sterndale, Beunett, Smart, Macfarren, Prout, Sullivan, A. C. Mackensie, Villiers-Staudford, sir Edward Elgar, etc. V, Gob SAVE THE KING.

grande-duchesse [ehë-5e) n. f. Souveraine d'un nd-duché. Femme d'un grand-duc. PL des grandes-duchesses.

Grande-duchesse de Gérolstein (/a), opéra bouffe en trois actes et quatre lableaux, paroles de Meilhac et L. Halévy, musique d'Offenbach, œuvre amusante et d'une verve eéndiablée, Histoire bouf- fonne d'un simple soldat, Fritz, qui devient le favori de la grande-duchesse, est élevé aux plus grandes dignités, et perd la faveur de la souveraine en épou- sant la petite paysanne Wanda (1867). Les couplets du Piff, paf, du Sabre de mon père; la chanson Alles, jeunes fillettes, ete, sont restés populaires,

Grande-Grèce, nom donné, au ve siècle avant notre ère, à la partie méridionale de l'Italie, où les colonies grecques étaient nombreuses. Les plus fameuses élaient : Sybaris, Rhegium, Elée, Héra- clée, Thurii, etc.

Grande Guerre. V. Guere (grande).

grandelet, ette {là, è-te) adj. Déjà un peu grand : enfant grandelet.

grandement [nan]! adv. Beaucoup : se trom- per grandement. Avec noblesse. Avec générosité,

grande mortalis ævi spatium, mots lat. signif.

rand espace de la vie d'un homme, Expression par aquelle Tacite ( Vie d'Agricola, ch. III) désigne les quinze années du règne de Domitien. (On n'applique AS uns ces mois au même laps de temps que acite.} ande-rose n. f. Sorie de linge damassé qui se fabrique en Flandre et dans la basse Normandie, P1 des grandes-roses. Syn. de GRANDE-VENISE.

Grandes-Dalles (Les), plage de la Manche. V. DALLES.

Grandes-Rousses, massif des Alpes fran- Fe entre l'Arc et la Romanche ; 3.514 m. d'alti-

ude.

grandesse {dè.se] n.f. Dignité de grand d'Es- pagne.

randes-Ventes, comm. de la Seine-Infé- rieure, arr. et à 21 kil, de Dieppe ; 1.670 h. Clouterie,

Grandet [dé] (le père), PORRRSS d'un roman de H. de Balzac, le type de GRANDET.)




l'avare, (V. EUGÉNIE ,

GRA

grandeur n. f. (de grand}, Etendue en hau- teur, longueur, FACE ce qui peut étre augmenté ou diminué, Titre d'honneur qu'on donne à un évé-

ue (dans ce sens, prend une majuscule): Sa Gran- deur l'évèque de... Fig. Sublimité : grandeur de ca- ractére, Enormité : grandeur d'un crime. Autorité, puissance, majesté : {a grandeur souveraine. Di- ités, honneurs : naître au sein des grandeurs. andeur d'une étoile, éclat : les étoiles sont grou- pées par ordre de grandeur de telle sorte que les Plus brillantes correspondent aux premiers rangs de grandeur. Fig. Du haut de sa grandeur, avec or- gueil, dédain. AxT. Petitesse, exiguité, mesquinerie.

Grandeur et décadence des Romains, V. no- MAINS.

Grand'Eury (François), botaniste français, . . Houdreville (Meurthe}, m. à Malzéville (1839-

17).

Grand-Fort-Phillipe, comm, du Nord, arr. et à 24 kil. de Dunkerque, à l'entrée du chenal de l'Aa ; 3.600 h.

Grandgagnage (François -Charles-Joseph}, jurisconsulte et littérateur belge, né à Namur, m, à Embourg (1797-1877).

Grand-Gallargues, comm, du Gard, arr, et à 19 kil. de Nimes ; 1.750 h. Ch. de f. P.-L.-M.

grand'garde n. f. Troupe qui fournit les avant-postes et les sentinelles avancées : étre de grand'garde. PI. des grand'yardes.

CAR PRE En Re EU père de Gargantua, un des pérsOnRagés u livre de Rabelais, dont le nom indique assez le caractère, C'est la personnification de la gloutonnerie.

Grand-Haileux, comm. de Belgique (Luxem- bourg, arr. de Bastogne) ; 1,250 h. Carrières.

grand-haut n. m. Troisième lit de bois em- pilé dans les fours pour y être transformé en charbon,

Grandidier [di-é] (Alfred), voyageur et natu- raliste français, né et m. à Paris (1836-1921). 11 s'est consacré à l'exploration de Madagascar, dont il a publié une magnifique Histoire naturelle et politi- que. Membre de l'Académie des sciences (1885).

Grandier {di-é] (Urbain), curé de Loudun, n& près de Sablé, brûlé vif à Loudun (1590-1634). Accusé d'avoir jeté dans D PUREERUR démoniaque les reli- gieuses de Loudun, il fut jugé avec une inexeusable pere pee Laubardemont, et envoyé au supplice,

grandiflore adj. Qui a de grandes fleurs.

grandifolié adj. Qui a de grandes feuilles.

grandiloquence {kan-se] n. f. Emploi affecté de grands mots, de grandes phrases.

grandhoquent [kan], e ou grandiloque {lo-ke] adj, (du lat, grandis, grand, et loqui, parler). ee hyperbolique : orateur, style grandi- oquent.

grandiose [4-ze] adj. (ital. grandioso). Impo- sant par l'aspect, l'étendue, la noblesse, l'élévation, N.m. Ce qui a ce caractère : le grandiose d'un spec- tacle. Ant, Médiocre, mesquin.

grandiosement {o-ze-man] ady. D'une ma- nière grandiose,

grandir v. n. Devenir grand : enfant qui a grandi très vite. V. a. Rendre ou faire lee plus grand, plus gros : le microscope grandit les petits objets. Fig. : la peur grandit le péril. Donner de Ja grandeur morale : l'adversité grandit Louis XVI. ALLUS. LITTÉR. Îl grandira car il est Espagnol, vers burlesque de lx Périchole, que chante Piquillo par une allusion plaisante aux grands d'Espagne, Anr. Atténuer, amoindrir, diminuer, rapetisser,

grandirostre [ros-tre) adj, (du lat. yrandis, grand, et de rostrum, bec). Qui a un grand bee.

grandissant [di-san], € adj. Qui va croissant : pouvoir sans cesse grandissant.

grandissement {di-se-man] n. m. Action de devenir ou de rendre plus grand.

grandissime [di-si-me) adj. Fam. Très grand: arriver au grandissime galop.

Grandisson (sir Charles), héros et titre d'un ro. man épistolaire de Richardson (1753) où l'auteur a voulu créer le type idéal d'un homme vertueux, qui obtiendrait l'admiration par son esprit, sa figure, son rang, ses talents, son élégance et les qualités qui constituent l'homme pieux et le bon citoyen.

Grandjean de Fouchy (Jean-Paul), astro- nome français, né à Paris (1707-1788); secrétaire perpétuel de l'Académie des sciences (1743),

rand-Jonction, canal d'Angleterre. Il rêu- nit la Tamise au canal d'Oxford ; cours 145 kil.

Grand-Jouan, hameau de la Loire-Infé- rieure (comm, de Nozay) ; 100 h. Ecole pratique Ce

rand-Lac-Salé (vie pu) [en angl. Salt Lake City et primitivem. Great Salt Lake City], v. des Etats-Unis (Utah), à l'extrémité du Grand Lac Salé (6,110 kil, car, de superficie), auquel elle doit son nom ; 50.000 h., mormons pour la plupart. Cé- réales. Blatures.

Grand-Leez, comm. de Belgique (prov. et arr. de Namur), sur l'Orneau ; 2. ,. Coutellerie.

Grand-Lemps [lan] (Le), ch.-1. de c. (Isère), arr. et à 2% kil de La Tour-du-Pin ; 1,840 h. Fila- tures de soie. Ch. de f. P.L..M. — Le cant. a 13 comm. et 11.400 h.

Grand-Liban (Erar pu). Etat autonome de la Syrie, de mandat français, délimité par la Méditer- ranée, la Phénicie et la Palestine de mandat britan- nique, le Gouvernement de Damas et le Territoire des Alaouites. Superficie : 10.860 kilom. carr., peu- ee de 726.000 hab. (Libanais). Capit. Beyrouth. V.

IBAN,

Grand-Lieu (Lac pr), lac poissonneux, situé près de Nantes ; 7.000 hectares ; peu de profondeur. Il est alimenté par les rivières Boulogne, Ognonet Tenu,

grand-livre n. m. Liste qui contient les noms de tous les créanciers de l'Etat, tous les élé- ments de la Dette publique, et qui a été imaginée par Cambon, (On dit aussi et on écrit sans trait d'union : le grand livre de la dette publique.) PI. des grands-livres. (En T, de comptabilité, l'expres- sion grand livre, employée"par opposition à celle de journal, s'écrit sans trait d'union. [V. LiVRE}.)

Grand-Lucé (Le), ch.1. de c. (Sarthe), arr. ct à 24 kil. de Saint-Calais, au-dessus de la Veuve; 1.960 h. Huiles, — Le cant, a 8 comm. et 8.590 h.