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Page:Larousse universel, 1922, I.djvu/118

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Syn. de ALLUVION. _ apporter rt / v. a. (de ad, | n rl TIR EZ À porter), Porter ñ {

«nique appo

APP spponyi {antotne Rodolphe, comte), diplomate en,

1 , ambassadeur à Paris sous C és X et Louis-Philippe (1782-1852). — Geonces, homme d'Etat ois, neveu du précédent (1808-1899), chef du conservateur en Hongrie. Très re en

L populai

_sOR pays, psnn d'une politique de conciliation

avec Pau e, il ti à l'établissement du dualiste de. 1867

social. Marché, lieu où | l'on apporte des denrées,

, . où se trouve quelqu'un : Georges Apponyi. @ z-moi ce livre. hp . Fournir, faire apport : apporter tant en mariage. Allèguer : apporter des raisons. Commu- uer, transmettre, annoncer : apporter une nou-

5 Em loyer : apporter des soins. Susciter :

rter des obstaclés. ANT. Emporter, enlever.

_ Apposer {a-po-zé] v.a. Appliquer, mettre : a paru timbre malrite. Are. A FRE scellés, appliquer le sceau de justice sur la ser- _rure d'une pe d'a, ment, de meuble, pour qu'on ne puisse soustraire aucun des objets qui sont renfermés. Apposer une clause, une condition Pen Pr , Ve (a-po-z . Gramm. Se dit d'un mot qui, face à Fans es ne désigne avec Jui qu'une seule et méme personne, une seule et 1e chose. £ ; dans Jean lapin, sire Grégoire, le second nom est l'appositif, le complément apposi- tif du premier,) N. m..: un appositif. apposition {a-po-zi-si-on] n. f. Action d'appo- ser : l'a) on d'un sceau. m. Union de deux noms, t le second sert d'épithète au premier : Foch, maréchal de France.

va ciabilité f. i Eee ppré ét [a-pré] n. f. Qualité de ce qui

“est ap Fa a! a Pa rene [a-yré] Inappréciable.

PU een trice [apré] et adj. n. Qui

adj. Qui peut être appré- e : quantité appréciable. ne

e : il est rare de trouver un juste appréciateur mérite des autres.

apprécia ve {a . Qui marque l'ap- gréchtion : ÉTAT mobilier Propre A sDARacIer à des facultés appréciatives des lèvres et pülais. réciation [a-prései-arsi-on] n.f. Estimation, évaluation : appréciation de marchandises. Juge- ment : appréciation juste, raisonnée. apprécier la-pré-si-é) v. a. (de ad, et du lat. pre- tium, prix. — Se Son comme prier.) Evaluer : ap- précien des meubles. Soumettre à un jugement : ap- ter un drame. Faire cas de : Henri IV appréciait ully. Ant. Mépriser,

ES préhender fapré-an-dé] v. 4. (lat. apprehen- dere sir : appréhender au cure un voleur. Crain- dre, rédouter : 7 Rte qu'il ne soit trop tard ; fé n'appréhende F re Hi soit trop tard.

appréhensibilité (apré-an] n. f. Qualité de

ce qui peut être ss par l'esprit. 8

appréhensible {a-pré-an . Qui peut être

Air l'esprit. à it ot F

a prénans ive a pré-ant . Timide, sn are nes if. LED $ ppré ensSion [a-pré-an] n. f. Crainte vague, peur mal définié, f 1 S apprendre [a-pran-dre] v. a. (du lat. apprehen- déere, saisir par l'esprit. — Se conj. conune prendre.) uérir des connaissances, étudier : apprendre Vhistoire. Contracter une habitude : apprendre à se taire. Informer, étre informé : app re une mouvelle à quelqu'un, de quelqu'un. Enseigner : rendre le dessin à un enfant. ANT. paper are ublier. ALLUS. sr. : Ils n'ont rien appris, rien oublié, mot pee à Talle d et qui caractérise l'état d'esprit des émigrés à la Restauration.

1 Vars € {a-pran] n. Celui, celle qui apprend un r, une profession sous un maitre : Les appren- tis sont protégés par La loi. Fig. Personne peu habile,

utant, novice. PRO. : Ap n'est pas maitre,

il ne faut pas attendre d'un débutant la perfection.

ap ReDHesage a-pran-ti-sa-je) n. m. Action

dophree un étal LS Éupe qu'on met à l'appren-

dre : tout art demande un apprentissage. Fig. Pre- miers essais : l'apprentissage de la vertu.

— Excycz. Le contrat d'apprentissage est celui par Jequelun patron, un chef d'atelier où un ouvrier soblige à enseigner JA pratdes de son métier à une autre personne ; celle-ci, en retour, prend l'engage-

  • ment de travailler pour le patron pendant un temps

déterminé et à des conditions convenues. Nul ne re recevoir des ras mineurs s'il n'est âgé de

ans: Le maitre doit surveiller la conduite de l'ap- pe et aviser ses parents ou représentants des

graves qu'il a commises. L'apprenti doit sou-

à son maitre. Il est tenu de remplacer, à l'expiration du contrat, le temps quil n'a pu em- ployer par suite de maladie ou d'absence ayant duré plus de quinze jours. Les deux premiers mois d'ap- Lena sont considérés comme un temps d'essai, pendant lequel le contrat peut être annulé par la

sn volonté de l'une des ies, sans indemnité

résiliation de part ou d'au mppret {a-prè] n. m. (de appréter). Manière d'ap- préterles étolTes, Le cuirs, pee HP qui Sert à Tape

- prêt : éfo/fe sans apprèt. Assaisonnement : apprêt des viandes. ‘a Affectation dans le discours : s{yle plein d'apprèt. PL. Préparatifs : les apprèts d'un voyage. — Encyeu. Pour les étoffes de soie ou de laine et Rp les gazes, l'apprêt est une dissolution de colle le poisson ou de gomme adragante. On mouille les étoiles de laine où de soie au moyen d'une éponge fine imbibée de cette dissolution, On fait ensuite sé- cher l'étoffe, tendue, le plus promptement possible,


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Pour les gazes, on tend sur un châssis, et l'on passe une seule fois l'éponge imbibée de la dissolution de gomme. Pour les dentelles de fl, même Dee avec un apprét différent : faire dissoudre dans un litre d'eau bouillante 40 grammes de borax; quand la dissolution est terminée, on ajoute 200 grammes de gomme laque, Faire bouillir jusqu'à fusion complète. apprê e {a-pré] n. m. Emploi de l'apprèt. apprêté lapré-té], e adj. Affecté, dépourvu de naturel : style apprèté; langage apprèté, Dre (a-pré-té] v. a. (du lat. ad, à, Stprssto, près). Donner l'apprêt : appréter des peaux. Préparer : apprèter ses armes. Accommoder: apprèter des ali- ments. S'apprêter v. pr. Se disposer, se préparer. apprêteur, euse {eu-3e) n. Ouvrier, ouvrière ser lonne l'apprèt aux étoiles, etc. Peintre sur verre. . f. Modiste qui pose les ornements du chapeau. Apprie comm. de l'Isère, arr. et à 28 kil. de La Tour-du-Pin ; 1,720 h. Aciéries. st apprivoisable [apri-voi-za-ble] adj. Qu'on peut apprivoiser, apprivoisement {a-pri-voi-ze-man]n.m. Ac- tion ÉSEMEE résultat de cette action, apprivoiser {a-pri-voi-zé) v, a. (de ad, et du lat. privus, privé). Rendre un animal moins farou- che, : apprivoiser un ours. Fig. Rendre une personne plus sociable : Rien ne UE apprivoiser Alceste. 'apprivoiser v. pr. Se familiariser, s'accoutumer : s'apprivoiser avec lé danger. Axr. Effaroucher. apprivoiseur, eUSse {a-pri-voi-seur, eu-e] n. et adj. Qui apprivoise. approbateur, trice lapro] adj. et n. Qui approuve : sourire approbateur; un approbateur ; l'approbateur d'un médisant devient son complice. AxT. Dépréciateur, dénigreur, désapprobateur, approbatif, ive [a-pro) adj. Qui marque l'a probation : geste approbatif. Anr.Critique, improbatif. approbation (too on] n. f. (lat, appro- batio). Consentement, acquiescement, adhésion : un mineur ne contracte pas valablement sans ue tion. Jugement favorable : l'approbation des hon- nêtes gens est précieuse. ANT. Désapprobation. approbativement [a-pro, man] adv. D'une ère approbative. approbativité {a-pro) n. f. Phrénol, Désir de plaire, d'être louangé. approchable {a-yro] adj. Abordable, acces- sible : les gens irascibles ne sont pas approchables. approchant {a-pro-chan]), 6 adj. Peu différent, presque semblable : le singe a des traits approchants de ceux de l'homme. Approximatif : les caleuls as- tronomiques ne sont jamais guère qu'approchants. approchant {a-pro-chan] adv, Environ, à peu près : mille francs ou approchant. approche {a-pro-che] n. f. Action d'approcher, de AR AE Mr à RNCS de ET PL Abords, accès : les approches d'une ville. Tra- vaux d'approche, travaux de terrassement, etc., au moyen desquels l'assiégeant s'avance vers lassiégé. approchement {a-pro-che-man] n. m. Action d'approcher. Etat de ce qui est approché. approcher {a-pro-ché] v. a. (de à, et proche) Mettre proche : approcher une chaise, V. n. Devenir proche : l'heure approche. S'approcher v. pr. S'avan- cer, se mettre auprès de. ANT. Ecarter, éloigner. approfo {a-pro} v. a. Rendre plus pro- fond : approfondir un puits. Fig. Examiner à fond : approfondir une question. approfondissement !a-pro-fon-di-se-man] n. m. Action d'approfondir, au pr. et au fig. : l'ap- profondissement d'un puits, d'une question. appropriable {a-pro] adj. Qu'on peut s'appro- prier : l'air, l'eau, la lumière ne sont pas appro-

es. appropriation [a-pro, si-on] n. f. Action de rendre propre à : l'appropriation du sol à la culture. Action de s'approprier une chose : Le chasseur pos- sède par appropriation le gibier qu'il a tué. approprier {a-pro-pri-é] v. a. (de ad, et du lat. Then convenable, — Se conj. comme prier.) Rendre propre à une destination : approprier Les lois aux mœurs. Mettre en état de propreté : approprier un appartement. Fig. Conformer : approprier le style au sujet. S'approprier v. pr. S'attribuer, usur- per : s'approprier un héritage, une pensée. Approuague, territoire de la Guyane fran- FT .000 h.), arrosé par le fleuve du mème nom (300 kil.). Gisements aurifères. Atelier disciplinaire. approuvable [a-prou] adj. Qui peut, qui doit être approuvé : plan, conduite approuvable. approuver [a-prou-vé] v.a. (du lat. approbare, prouver). Agréer une chose, y consentir : approuver un mariage. Juger bon, louable : approuver un ora- teur, un discours. Axr. Désapprouver. approuvé, e sd: Qui a reçu l'approbation : prètre approuvé. S'emploie adverbialem. (avec ellipse, et invar.) : approuvé l'écriture ci-dessus. approvisionnement [a-pro-vi-si-0-ne-man) n. m. Action de munir de provisions une ville, une armée, une flotte, etc. Provisions réunies ; recevoir des approvisionnements frais. approvisionner {apro-vi-si-o-né) v. a. Gar- nir, munir de provisions : la terre entiére approvi- sionne Paris. rovisionner v. pr. Se munir de provisions. Ant, Démunir, dénantir. approvisionneur, euse [a-pro-vi-zi-0- neur, eu-ze) n. Celui, celle qui approvisionne. approximatif, ive [a-pro-ksi) adj. Fait par approximation : calcul approximatif; évaluation approrimative, ANT. Exact, précis. approximation {a-pro-ksi-ma-si-on] n. f. (du Jat. approzimare, NUTIS er). Estimation, évaluation par à peu près, (Se dit de tout ce qui n'offre pas une exactitude rigoureuse.) ANT. Exactitude, précis:on.

approximativement [a-pro-ksi, man] adv, Par approximation. D'une manière approximative.

APPUi la-pui] n. m. (de appuyer). Soutien, sup- port : mettre un nue à un arbre. Fig. : être l'ap- pui du faible. Archit. Qui sert à s'appuyer : appui de fenètre. À hauteur d'appui, à la hauteur ordinaire du coude, Art uétér. Temps pendant lequel le cheval a le pied en contact avec le sol, pendant la marche. Mécan. Point d'appui, point fixe autour duquel la

APT

puissance et la résistance tendént à se mettre en équilibre, (V. Levier.) À l'appui de loc. prépos, pour appuyer, prouver : les exemples viennent à l'appui des règles.

appui-main [a-pui-min] n. m. Baguette dont se sérvent les peintres pour appuyer la main qui tient le pinceau, PL des appuis-main.

appui-tête [a-pui] n. m. Appareil destiné à soutenir immobilé la tête des personnes que l’on nt PS PL des appuis-tête.

ap! 80 [a-pul-se] n. f. (du lat. appulsus, voisi- nage). Rapprochement de deux astres, permettant de les voir dans la mème lunette.

appuyer [a-pui-ié] v. a. (du lat. ad, vers, et podium, base).— (J'appuie, tu appuies, il eppuie, nous appuyons, vous appuyez, ils appuient. J'appuyais, nous appuyions, J'appuyai, nous appuyâmes. J'ap- puierai, nous appuierons. Appuie. appuyons, ap- puyez. J'appuierais, nous appuierions. Que j'appuie, que nous appuyions. Que j'appuyasse, que nous appuyassions. Appuyant. Appuyé, e.) Soutenir par le moyen d'un appui : appuyer un mur par des con- treforts. Accoter, appliquer contre ou sur : appuyer une échelle contre un mur; appuyer ses coudes sur la table, Fig. Soutenir de son influence, de son cré- dit : appuyer urie (demande. V. n. Peser : appuyer sur la plume. Fig. Insister : appuyer sur une cir- constance. Prendre une direction : appuyer sur la droite, S'appuyer v. pr. S'aider comme d'un appui, d'un soutien : s'appuyer sur une canne.

2ppUyOIC {a-pui-i-oir) n. m. Outil en bois, dont se sert le ferblantier pour appliquer l'une sur l'autre deux pièces à souder.

Apraxine, nom d'une famille noble russe, qui joua un rôle considérable au xvne siècle. Un de ses membres les plus fameux, ErIexNe-FéDoroviT ou (1702-1758), se LR pendant la guerre de Sept ans contre les Prussiens,

âpre adj. (lat. asper). Rude au goût, au toucher : fruit âpre. Fig. Avide : âpre au gain. Violent, plein d'aigreur : caractère âpre. ANT.

âprement [man] adv. Avec âpreté : répriman- der quelqu'un âprement.

Apremont, comm. de la Vendée, arr. et à 33 kil. des Sables-d'Olonne ; 1.660 h.

Apremont, comm. et forêt du dép. de la Meuse, arr. et à 18 kil. de Commercy ; 611 h. (en 1914). Vio- lents combats au cours de la Grande Guerre. — Comm. et bois du dép. des Ardennes, arr. et à 22 kil. de Vouziers, sur Aire, près de la lisière de la forêt d'Argonne ; 624 h. (en 1914). Ch. de f. E. Le bois d'Ap- premont fut aussi le théâtre de luttes sanglantes pendant la Grande Guerre,

Après [pré] prép. (de à, et près). A la suite : entrer après TE PA Contre : crier après quelqu'un. À la poursuite de : courir après un livre. Ensuite : man- gez d'abord, buvez après. D'après loc. prép., à l'imi- tation, à la manière : peindre d'après nature, Après coup loc. adv., trop tard, après qu'une chose est faite. Après tout, au surplus, quoi qu'il en soit. ANT. Avant,

après-demain (prè-de-min) adv. Le second jour après celui où l'on est. N. m.: des après-demain,

après-diner jprè-di-né] n. m. Temps qui suit le diner. PL des aprés-dine On écrivait autref, APRÈS-DINÉ n. Im., et APRÉS-DINÉE n. f.) (Ecrivez : je viendrai cet après-diner. ou je viendrai aprèé diner.)

après-guerre [pré-ghé-re] n. m. invar. Temps, régime qui à suivi la Grande Guerre.

après-midi {pré} n. m. ou f. invar, Partie du jour depuis midi jusqu'au soir. (Ecrivez : je viendrai cet ou cette après-midi, ou je viendrai après midi.)

après-SOUper {pré-sou-pé] n. m. Temps entre le souper et le coucher. PL des après-soupers. (On écrivait autref. APRÈS-SOUPÉ n. In. et APRÈS-SOUPÉE n. f.). (Ecrivez : je viendrai cet après-souper ou je viendrai après souper.)

àäpreté n.f. Etat de ce qui est âpre : l'épreté des fruits verts. ne Sévérité, rudesse : l'âpreté des re- proches. Avidité : l'âpreté des créanciers.

Apriès [éss,, roi d'Egypte de la xxvit dynastie, fils de Psammétik IL; ileut des démélés avec Nabucho- donosor, et fut détrôné par un de ses généraux, Amasis.





à priori. V. Pro (À).

apriorisme |ris-me] n. m. Méthode de raison. nement à priori.

PPrAOMIENARE adj. Qui procède à priori : mé- thode aprioristique. apriorité n. f. Caractère de ce qui est à priori: l'apriorité des formes intuitives de la sensibilité. apronn.m. Genre Ce acanthoptères, de la famille des percidés, s à corps plus allongé que ceux-ci, et qui vivent dans les eaux douces d'Europe : l'apron atteint de Om, 15 à Om, 25 de long ; sa chair est très estimée. (On le pêche comme la perche.)

à-propos [pô] n.m. Chose dite ou faite en temps et lieu convenables : l'ä-propos donne du prix à tout. Pièce de théâtre, poème de circonstance: des à-pro- pos en vers. V. PROPOS (À).

Apsaras. Mythol. hind. Déesses inférieures, musiciennes et danseuses chargées de distraire les dieux. S. une Apsara,

apsichet [chè] n. m. Rebord saillant ménagé sur Îa surface extérieure des portières, et qui sert à maintenir les glaces d'une voiture,

apsidal, @ adj. Se dit, en géométrie, d'une surface que Yon peut dériver d'une autre, d'après une loi de géométrie spéciale : une surface apsidale d'une autre.

apside n. f. (gr. apsis, idos). Astron. Chaque extrémité du grand axe de l'orbite d'une lanète : la ligne des apsides.

  • APHÈÉLIE, PÉRIHÉLIE.

Apsines, rhéteur grec, né à Gadara (Phénicie), au 1e siè- cle ; auteur de l'Art de la rhéto- rique et d'un traité Sur Les pro- Vièmes figurés. apsyohle ue f. (au gr. a priv., et psukhë, Ame), Défaillance, syncope, perte de connaissance. 2pSy Chisme [éhis-me}n.m.(du gr.a priv.,etpsu- khé, âme). Idiotisme, absence complète d'intelligence, Apt {api}, ch.-1. d'arr, (Vaucluse), sur le Calavon, aff, de la Durance ; ch. de f. P.-L.-M., à 45 kil


Armes d'Apt.