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Page:Larousse universel, 1922, I.djvu/1220

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NT

INV inviolé, e adj. Qui n'a ges été violé, outragé,

enfreint : sanctuaire inviolé ; loi inviolée.

inviscant [vis-kan|, @ adj. Qui invisque : le mucilage est inviscant. ns tion (vis-ka-si-on] n. f. Action d'in-

squer.,

visipité [ei] n. f. Etat de ce qui est invi- sible, Ant. Visibilité.

invisible téZle] adj. Qui échappe à la vue par sa nature, sa tesse ou sa distance : le plus grand nombre des étoiles est invisible à l'œil nu. Qui se dérobe et ne veut pas être vu : un ministre invi- sible. AnT. Visible.

invisiblement [zi-ble-man] adv, D'une ma- nière invisible. Anr. Visiblement.

invisquer {vis-ké] v. a. (lat. inviscare). En- £luer, endüire d'une matière grasse, visqueuse.

invita Minerva, mots lat. signif, : En dépit de Minerve. Ecrire en dépit de Minerve, rimer malgré Minerve. Expression d'Horace. (Art poétique, 385. Se dit d'un auteur sans talent, sans inspiration, qi s'obstine à vouloir écrire quand même,

invitant [tan], € adj. Séduisant, engageant.

invitatif, ÎVe adj. Qui invite : proclamation invitative à la pair.

invitation {si-on] n. f. (lat. invitatio). Action d'inviter : accepter, refuser une invitation. Exhor- tation, incitation : les invitations des partis.

invitatoire adj. (lat. invitatorius). Liturg.Adj. Antienne invitatoire, antienne qui se chante à ma- tines, avec le Venite, erultemus. Lettre invitatoire, lettre aus le pape adresse aux évêques, pour les in- viter à venir à Rome, le jour anniversaire de son élévation au trône pontifical. N. f. Lettre invitatoire.

invite n. f. Carte que l'on joue pour indiquer les éléments de son jeu à son partenaire. Fig. Ce qui invite à faire quelque chose.

invité, € n. Qui a reçu une invitation.

invitement [man n.m. Action d'inviter, (Vx.)

inviter [té] v. a. (lat. invitare). Convier, prier de se trouver quelque part, d'assister à : inviter des amis à dîner. Fig. En r, exciter : le crépuscule invite à la réverie. V. n. Jeu. Faire une invite. S'in- viter v. pr, Fam. Se rendre, se trouver quelque part LPS été convié : le te s'invite partout. Se réciproquement des invitations.

inviteur n.m. Celui qui invite.

in vitium ducit culpæ fuga, mots lat. signif. : La crainte d'un défaut fait tomber dans un vice. Pensée d'Horace (Art res 31), à propos des lois de l'esthétique. Bo a dit presque dans le même sens :

Souvent, la peur d’un mal nous conduit dans un pire.

in vitro, mots lat. signif. : Dans le verre. Expres- sion puis toute réaction physiologique qui se fait en dehors de l'organisme (dans des tubes, des éprouvettes, etc.) : constatations faites in vitro. in vivo, mots lat. signif, : Dans l'être vivant. Ex- pression dési, t toute réaction physiologique qui se fait dans l'organisme : expérimentation in vivo. invocabit (Dimanche de l'), premier dimanche de rip (parce que l'introïft commence par ce mot). a invocateur adj. et n. m. Qui invoque ; enchan- teur, sorcier. (Vx.) invocation {si-on] n. f. (lat. invocatio). Action d'invoquer : l'invocation des saints. Prière que le oète adresse à une divinité, au début d'un ouvrage. Litur . Dédicace, protection : église sous l'invoca-

tion de la ES

invocatoire adj. Qui appartient à l'invoca- tion : forme invocatoire.

involontaire [té-re] adj. Fait sans le con- sentement de la volonté : erreur involontaire. ANT. Volontaire.

involontairement [tè-re-man] adv. Sans le vouloir. Ant. Volontairemen:

involucelle [sè-e) n. m. Petit involucre.

involucellé [si-4], 6 adj. Qui est muni d'un involucelle : ombellule involucellée.

involucral, e, AUX adj. Qui naît sur l'invo- lucre : épines involucrales.

involucre n. m. (du lat. involuerum, enve- loppe). Bot. Ensemble de bractées, d'organes foliacés rapprochés autour de la base d'une fleur ou d'une florescence, lement d'une ombelle ou d'un capitule.

involucré, 6 adj. Bot. Qui est pourvu d'un involucre : fleurs involucrées.

involuté, e adj. Bot.Roulé pere tif, à

volu ve . (du

lat. involutus, AP A Se dit des feuilles qui se roulent de dehors en dedans.

involution {si-on] n. f. lat. involutio). Assemb]

‘embarras, de difficultés. Bot. Etat d'un organe involuté. Biol. Syn. de INVAGINATION. Méd. Involution uütérine, phénomène par lequel l'utérus, après l'ac- couchement, reprend peu à peu son volume normal.

— EncycL. Math. On dit que six points À, B, C, At, B!, C!, en ligne droite, sont en involution. lors- qu'on peut les grouper en drois couples, de façon que l'on ait la relation :

CAXCA! _C'AXC'A' X — CE XP

involvant lvan}, @ adj. (lat. involvens). Hist. nat. Qui enveloppe et protège : calice involvant,

invoquer {k{} v. a. {lat. invocare ; de in, dans, et vocare, appeler). Appeler à son aide, & son se- cours : invoquer les saints, sa muse. Fig. Citer en sa faveur : invoquer un témoignage.

invraisemblable [urë-san] adj. Qui n'est pas Ni ce D raenie Te Lion sont tneres raconte e-Live, > renblables. Nom. Ce qui est invraisemblable. ANT. Vraisemblable. invraisemblablement {vré-san, man] adv. mis manière invraisemblable. Anr. Vraisembla- lement.


1, iuvolucre.

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invraisemblance [urè-san] n. f. Défaut de vraisemblance : souligner l'invraisemblance d'un récit. ANT. Vraisemblance.

invulnérabilité n.f. Qualité de ce qui est invulnérable, Anr. Vulnérabilité.

_ invulnérable adj. M invulnerabilis ; préf. in, et vuinus, eris, blessure), Qui ne peut être blessé : Achille, raconte la Fable, était invulnérable, sauf au talon. ANT, Vulnérable,

invulnérablement [man]! adv. De manière à être invulnérable, (Peu us.)

Inzinzac, comm. du Morbihan, arr. et à 16 kil. de Lorient, près du Blavet; 4.870 h. Distillerie.

10, fille d'Inachos et prétresse de Junon, séduile ms Jupiter, qui la visitait sous la forme d'un nuage.

lle fut transformée en génisse par Junon, qui vou-

lait la soustraire aux poursuites de son époux, et qui la fit garder par Argus: Mercure la délivra en tuant Argus, mais Junon attacha à ses flancs un taon, Pour en fuir les piqûres incessantes, lo parcourut, dans uné course vagabonde, une partie dela Grèce, de la Scythie, ete., et vint aborder en Egypte, où Jupiter lui rendit la forme humaine, Hytiets

— Îconogr. La plus belle mage qui ait été pre oo est due au Corrège (musée de Vienne).

SE :

Citons aussi le tableau de J.-B. Regnault : Jo enlevée par Jupiter; celui de David Teniers le Vieux :. 7 LS priant Junon de rendre à Lo sa forme primitive ; celui de Verdier, au grand Trianon: 10 métamorphosée en vache.

iodalbumine n. f. Albumine iodée.

iodargyrite n. f. lodure naturel d'argent. Syn. IODARGYRE, IODITE, IODYRITE.

iodate n. m. Sel de l'acide iodique.

iode n. m. (du gr. iodés, violet). Corps simple, d'un gris bleuâtre, de densité #,94, volatil à une tem- pérature peu élevée.

— Excycz. L'iode tache la peau en jaune ; il fond à 1130, et bout à 186e ; il émet des vapeurs violettes, de densité 8,7, même à la température ordinaire. Son symbole chimique ést I; il est monovalent. Il est so- luble dans l'eau, dans l'éther, l'alcool; sa solution dans l'alcool à 900 (1/3 de son poids d'iode) cons- titue la teinture d'iode. Il donne avec l'oxygène et l'eau plusieurs composés : l'acide hypoiodeux IOH, l'anhydride iodique 1*0 l'acide iodique 10H et l'acide

iodique 10*H ; il donne avec l'hydrogène l'acide todhydrique HI. Il se combine aux métaux en don- nant des iodures. L'iode existe à l'élat naturel dans l'eau de mer, qui en renferme environ 2,2 milligram- mes par litre ; il se trouve également dans de nom- breuses eaux minéralisées, dans les végétaux ma- rins, etc. On l'extrait des cendres de varech, des eaux-mères des nitrates de soude, etc. L'iodure d'argent est employé en photographie; on emploie l'iode en médecine comme révulsif, sous la forme de teinture d'iode ou de coton iodé ; cest aussi un bon antiseptique. On l'utilise pour faire avorter un fu- roncle, une engelure au début. Dans certains cas, on l'utilise pour provoquer une inflammation curative, en l'injectant dans les kystes ou les trajets fistuleux.

L'iode pes provoquer certains accidents par into- xication. V. 10DISME.

Conservation de la teinture d'iode. On conserve toutes ses qualités à la teinture d'iode : 10 en tenant le flacon hermétiquement clos ; 2° en plaçant le flacon en pleine lumière, au lieu de le maintenir dans l'ob- scurité, qui altérerait la teinture beaucoup plus rapi- dement que la lumière vive.

Employer de préférence de la teinture récente, au lieu de la teinture vieille, qui s'est partiellement trans- formée en acide iodh drique. On reconnaît que la teinture est ancienne lorsque, en agitant le flacon, il se forme un peu d'écume à la surface du liquide.

iodé, @ adj. Qui contient de l'iode : eau éodée.

ioder {dé} v. a. Couvrir ou mêler d'iode : ioder une plaque de photographie.

lodhydrate [di) n. m. Sel de l'acide iodhy- drique. (Ce terme nd ee surtout aux composés organiques : todhydraie de morphine.) — Pour les composés minéraux, on dit I0ODURS.

iodhydrines n. f. al Classe d'alcools polyato- miques, s lesquels l'iode est substitué à un groupe ment alcool : Le glycol C*H* (OH-}* a pour mono- iodhydrine C? H* (0 H)I. S. une iodhydrine.

iodhydrique adj. m Se dit d'un acide HI formé par la combinaison d'iode et d'hydrogène, et qui se présente sous forme de gaz incolore, d'odeur suffocante, de densité 4,37; il bout à — 36° et fond à — 61 ; il est très soluble dans l'eau,

iodifère adj. Qui contient de l'iode : sel todifére.

1odique adj. m. Se dit de l'anhyäride 120 et de l'acide IO0:H, résultant de l'oxydation de l'iode.

iodisme fdis-me] n. m. Intoxication produite par l'abus de l'iode ou de ses dérivés.

— Excycz. C'est principalement l'emploi de l'io- dure de potassium ou de l'iodoforme à l'intérieur

ui détermine les accidents de l'iodisme. IL y a

‘abord de la céphalalgie frontale, du larmoiement, du coryza avec écoulement séreux, de l'irritation de la gorge, de la salivation, etc. Puis on observe des éruptions cutanées, de l'œdème, des éblouissements, des bourdonnements, etc.

Dans les cas graves, on a recours aux vomitifs et au lavage de l'estomac; généralement, il suffit de pratiquer des ingestions d'eau albumineuse, et des inhalations de nitrite d'amyle; enfin, le plus souvent, il suffit de cesser d'absorber le médicament.

  • jodite n. f. Syn. de 10DARGYRITE.

iodobromite n. f. Mélange naturel de chlo- rure, bromure et iodure d'argent.

iodoforme n. m. Composé CHI?, que l'on ob- tient en faisant agir l'iode sur l'alcool, en présence du carbonate de potassium, ou bien en traitant l'acé- tone par l'iodure et l'hypochlorite de potassium : l'odeur de l'iodoforme est tenace et désagréable. (11 est smplors surtout comme antiseptique.)

— Excyez. L'iodoforme a été surtout utilisé au début de la période chirurgicale d'antisepsie. On re- couvrait alors largement toutes les plaies avec de la

oudre d'iodoforme. Depuis l'asepsie, son emploi est rt très rare, surtout après la découverte de cer- tains dérivés comme le diodoforme, l'iadol, etc., qui jouissent des mêmes propriétés désinfectantes, et n'ont son odeur insupportable.

iodoformé, @ adj. Qui contient de l'iodo- forme : gaz iodoformé.


ION

iodol n. m. Composé que l'on obtient en traitant le pyrrol potassé par l'iode, et qui est un succédané de l'iodoforme, Syn. de TÉTRAIODOPYRROL.

iodo-organique adj. S'applique aux com sés médicamenteux qui présentent l'iode en associa- tion avec des corps organiques : huiles, peptones, etc.

iodophtisie [fri-:t} n.f. Cachexie produite par l'abus de l'iode et des iodures. V. 10b1SMe.

1odothérapie [pt] n. f, Traitement médical par l'iode,

iodothyrine n. f. Albumine jodée extraite de la glande thyroïde et employée en médecine dans le traitement du goitre.

iodure n. m. Composé résultant de la combinai- son dé l'iode avec un corps simple : l'iodure de potas- sium est d'un usage assez fréquent en thérapeutique.

— Excyce. Les iodures métalliques sont les sels de l'acide iodhydrique. La thérapeutique en utilise un grand nombre, parmi lesquels les iodures alca- lins (iodure de potassium, de sodium, d'ammonium, de strontium) sont les plus usités.

Tous ces iodures sont administrés en potions, s0- lutions ou sirops. L'iodure de potassium s'emploie à la dose de 0 gr. 20 à 1 gramme 24 heures, et, dans certains cas, on ordonne bot à 8 à 10 grammes. 11 est utilisé dans toutes les scléroses, et s'associe fréquemment au mercure dans le traitement de la syphilis. Les iodures donnent fréquemment de l'io- disme ; aussi a-t-on tendance actuellement à les rem- placer par les iodo-organiques ou par d'autres formes médicamenteuses,

On utilise l'iodure de plomb pour faire des pom- mades résolutives. Les jiodures de mercure sont or- donnés dans la syphilis.

ioduré, @ adj. Qui contient un iodure : sirop ioduré. Couvert d'une couche d'iodure : plaque pho- tographique iodurée.

iodyrite n. f. Syn. de 10DARGYRITE,

Iolas ou 101408, fils d'Iphiklès et neveu d'Héraklès, qu'il assista dans ses travaux et à l'heure de sa mort.

Iôlcos {koss}, v. de Thessalie, d'où partirent les Argonautes pour la conquête de la Toison d'or,

ole, fille d'Eurytos, roi d'Œchalie, enlevée et épousée par Héraclès. C’est à l'occasion de ce ma- riage que Déjanire envoya au héros la tunique de Nessus, :

jolite n. f. Variété bleu foncé de cordiérite.

ion n. m. Chim. Chacune des parties provenant de la dissociation d'un électrolyte en solution aqueuse.

— ExcycL. Un électrolyte en solution aqueuse se dissocie, ainsi 1e l'a montré S. Arrhénius. Les ions qui résultent de cette dissociation sont électrisés lorsqu'on plonge les deux pôles d'une source élec trique dans la solution. L'anode chargée positivement attire les ions chargés négativement (anions) et repousse les ions positifs (cations); la cathode agit de la même façon mais inversement, Quand un ion négatif se trouve en présence de l'anode, il passe à l'état neutre et se libère ; il en est de même pour les ions positifs en présence de la cathode.

Dans les gaz, sous l'influence de certaines radia- lions (rayon X, radium, etc.), quelques molécules sont également dissociées, V. ÉLECTRON.

Ion, petit-fils d'Hellen, fils d'Apollon et de Créuse, ancêtre mythique des loniens,

Ion, tragédie d'Euripide, qui a pour principal personnage le héros précédent. L'intérêt de la VE ce est dans la description poétique du temple de Delphes et us Fe vie sacerdotale. Racine s'en est inspiré da Athalie.

Ion, poëte RARE et historien athénien, n6 à Chio (ve s. av. J.-C). Ses pics dont il ne reste que des fragments, avaient plus d'élégance que de vigueur.

onène n. m. Carbure C!3 His, liquide incolore de densité 0,93, obtenu par l’action de l'acide iodhy- drique sur l'ionone,

Ionie {nf}, pays de l'ancienne Asie Mineure, sur la côte de la mer Egée, entre les golfes actuels de Smyrne et de Mendelia. Elle tira son nom de la {ribu des Ioniens, qui, chassée de la Grèce par les Doriens, alla coloniser la côte et les îles d'Asie, Douze grandes cités y représentaient la puissance ionienne: Milet, Samos, ad Colophon, Chios, Myon, Priène, Lébédos, Téos, Clazomènes, Ery- thrées, Phocée. (Hab. Ioniens.) Ils ont fondé de nom- breuses colonies dans la mer Noire, dans la Grande- Grèce, etc. A partir du vire siècle, l'Ionie a subi la domination des rois de Lydie, puis celle des rois de Perse, ensuite l'hégémonie d'Athènes et celle de Sparte, pour retomber sous lé joug des Perses, Les loniens, les mieux doués, les plus intelligents et les plus hardis des Grecs. ont tenu la première place dans l’histoire de la civilisation, des lettres et des arts.

Ionien, enne pres éne], nom des habi- tants de l'Ionie : es loniens. Adjectiv. De l'Ionie : Les villes ioniennes. Dialecte ionien, un des princi-

ux dialectes de la langue grecque, qu'on parlait

ans l'Ionie. Philosophie iontenne, école de philo- sophie grecque, qui s'est attachée à ramener {outes choses à un principe unique: l'eau pour Thalès, l'infini pour Anaximandre, l'air pour Anaximène.

— Excycer. Les dialectes ioniens se distinguent des autres dialectes grecs par leur douceur, la rareté des aspirations, la fréquence des rencontres de voyelles, la substitution de l'é ouvert long à l'a long

rimitif. Les principaux sont le dialecte homérique, e néo-ionien d'Asie Mineure (Hérodote, Hippocrate), l'ionien des les, l'attique, qui rétablit l'a long pri- mitif après r, t, €, u.

Ionienne (en), partie de la Méditerranée, qui s'étend entre l'Italie et la Grèce.

Ioniennes (ires), groupe d'iles situées dans la mer de ce nom, rendues à la Grèce par l'Angleterre en 1864. Pop. 250.000 h. Les principales sont : Corfou, Leucade, Zante, Céphalonie, Théaki (Ithaque), etc.

ionique adj. De l'Ionie. Ordre ionique, un des cinq ordres d'architecture, caractérisé surtout par un chapiteau orné de deux volutes latérales : colonne ionique, chapiteau ionique. V. COLONNE, ORDRE.

ionisation {za-si-on] n. £. Dissociation en ions par le courant électrique. Développement de la con- ductibilité d'un , Sous l'influence d'actions provo- quant la Denain d'ions (radiations ultra-violettes, pointe électrisée, gaz issus d'une flamme, etc.),

ionisé adj. m. Se dit d'un gaz chargé d'ions.