à une assez petite distance, le 53e, dont divers postes couronnaient les sommités voisines : tel était notre nouveau séjour.
Le 12, je rendis compte à l’Empereur de l’objet particulier sur lequel il m’avait dit, deux jours auparavant, de lui représenter mes idées ; il ne décida rien, croyant la chose tout à fait inutile. J’avais osé insister, parce que, dans le doute même, il n’y avait du moins rien à risquer ni à perdre : c’était se donner la chance de la loterie sans la dépense de la mise. L’évènement a prouvé, du reste, qu’il avait bien jugé ; la chose eût été parfaitement inutile ; elle n’eut pu amener aucun résultat…
Le même jour le colonel Wilks, ancien gouverneur pour la compagnie, que l’amiral était venu déplacer, vint faire sa visite à l’Empereur ; je servis d’interprète.
La maison domestique de l’Empereur, au départ de Plymouth, se