Page:Las Cases - Mémorial de Sainte-Hélène, 1842, Tome II.djvu/547

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non, cédant de bonne heure au climat et à ma débile santé, j’aurais succombé longtemps auparavant ; je n’aurais pas été le témoin de l’horrible évènement !… j’aurais sauvé d’éternelles douleurs, je ne serais plus !… je n’en serais pas à me débattre encore sous des infirmités cruelles, rapportées du lieu même ; j’y reposerais en paix ! et bien des gens regarderaient ma dernière demeure comme un nouveau bonheur de mon étoile ou une dernière faveur du ciel.


FIN DU MÉMORIAL DE SAINTE-HÉLÈNE PAR LE COMTE DE LAS CASES.