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Réponse de M. T. St.-Céran
À M. Alexandre Latil

Arbrisseau que courba le bras de la tempête,
Tu me dis : — Pauvre oiseau, j’abriterai ta tête
De la pluie et des vents : vois comme est gros le temps !
 — Tu ne sais pas que moi, jamais sous le feuillage,
Je n’ai fait résonner ma luette sauvage,
Et que je suis fils des autans !