Page:Latil - Les Éphémères, 1841.djvu/116

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Oui, c’est la destinée, immuable, profonde ;
Il faut que tout s’écoule et s’efface en ce monde,
Le papillon léger, l’aigle et le rossignol,
Et la femme et la fleur ; tous par un même vol,
Retournent à celui qui d’un souffle suprême
Les avait animés, et les éteint de même.

Décembre 1839