Page:Latil - Les Éphémères, 1841.djvu/80

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Tu puisas tes attraits, charmante créature,
Au creuset de ton cœur, où la vertu s’épure.
Bien heureux le mortel à qui le ciel, un jour,
Accordera ce cœur, et qui de l’hyménée
Recevant ce trésor, ô vierge fortunée !
Y saura faire naître un éternel amour !


5 mai 1839