Page:Launay, Dallet - La Corée et les missionnaires, 1901.pdf/79

La bibliothèque libre.
Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

avoir roués de coups, fit crever les deux yeux à trois d’entre eux et un œil au quatrième ; puis il les renvoya en leur criant :

« Voilà pour vous apprendre à y voir plus clair une autre fois ; je vous laisse un œil afin que vous puissiez retourner chez le mandarin. »


Marché aux fagots de Hoi-ryeng.

Il va sans dire que cet acte de barbarie sauvage est demeuré