Page:Lavergne - Fleurs de France, 1924.djvu/79

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« Comment se porte ma mère ? dit Guillaume.

– Assez bien, Messire ; mais elle mène grand deuil, la pauvre dame !

– Hélas ! » dit Guillaume ; et, sentant que les larmes le gagnaient, il piqua des deux et continua son chemin au galop.

Les serviteurs du château jetèrent des cris de joie en le voyant. Il sauta à bas de son cheval, et ; pressé d’embrasser sa mère, gravit rapidement l’escalier.