que ritournelle, le Chant des Pèlerins en forme de choral.
[Il reparaîtra à l’orchestre au début de la grande phrase du Landgrave qui coupe le Finale du 2e acte, comme encore à la fin de ce même acte.]
Il n’est séparé que par une fanfare de chasse du Septuor, qui lui-même est interrompu lorsque Wolfram prononce le nom d’Élisabeth répété comme en extase par Tannhauser.
[Une disposition absolument semblable se retrouve au début du
Finale du 3e acte, lorsque les mêmes personnages évoquent le
souvenir d’Élisabeth, dont le cortège funèbre passe devant eux.]
Ensuite le Septuor reprend et se termine par un bel
ensemble.
Après un court entr’acte, le 2me acte débute par un Air d’Élisabeth, précédé d’un récitatif ; ici encore on retrouve la couleur de Weber : vient un Duo dans la forme consa-