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LES GAIETÉS DU CONSERVATOIRE
plus grands artistes du temps briguaient l’honneur de se faire entendre, une maison qui ressemblait plutôt à une cour ; c’était chez Rossini, dont les soirées, aux dernières années du deuxième Empire, brillaient d’un éclat sans rival.
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/c/c8/Lavignac_-_Les_Gaiet%C3%A9s_du_Conservatoire_-_p._122.png/500px-Lavignac_-_Les_Gaiet%C3%A9s_du_Conservatoire_-_p._122.png)
On avait déjà entendu la Patti, la Trebelli, Tamburini, Gardoni et Zucchini, lorsque Mme Rossini, se faisant gracieuse pour la circonstance, s’approche de Schulhoff et lui demande « s’il voudrait bien jouer quelque chose ».