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Page:Lavignac - Les Gaietés du Conservatoire.djvu/122

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LES GAIETÉS DU CONSERVATOIRE

plus grands artistes du temps briguaient l’honneur de se faire entendre, une maison qui ressemblait plutôt à une cour ; c’était chez Rossini, dont les soirées, aux dernières années du deuxième Empire, brillaient d’un éclat sans rival.

On avait déjà entendu la Patti, la Trebelli, Tamburini, Gardoni et Zucchini, lorsque Mme Rossini, se faisant gracieuse pour la circonstance, s’approche de Schulhoff et lui demande « s’il voudrait bien jouer quelque chose ».