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LES GAIETÉS DU CONSERVATOIRE

eux-mêmes risquaient de s’abîmer aussi. Je leur avais bien acheté des bricoles, mais ils ne savaient pas s’en servir, s’y entravaient les pieds ; cela augmentait le danger.

La dernière année seulement, j’appris que la maison Pleyel fabriquait des pianos démontables. Ils sont fort curieux, ces pianos : quelques boulons à enlever, et l’instrument se divise en une vingtaine de morceaux dont les plus gros peuvent être portés sous le bras ; la table d’harmonie elle-même se