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fait détonner de îa poudre dans un aîr Infeâé , 4^, fuît voir que les phénomènes de la poudre fulminante fonc dûs au même fluide élaftique, 4^, Son fentiment flir la nature des fluides dép^apés , 47«
De s m e t h ( m, ) publie au mois d'Odobre 177a une Difl^ertation fur l'air fixe , 87 G^fuivanres, Il penfê que nous ne connoiflx)ns qu'un petit nombre des propriétés de Talr, 87, que les émanations élafliques dégagées des corps n'ont de commun avec l'air que félaflicité , la pefànteur fpécifique , &c , mais qu-'elJe^ en différent eC- fèntiellement quant aux autres propriétés, 88. que l'aie efl un diflx)lvant , ièid, îl obfèrve que le pirophore en brûlant augmente de poids, 8p & po, que la même cholè arrive à la chaux expofée à l'air , 90 & p 1. Il pré- tend que cette dernière éteinte à l'air & diftillée enfiiite ne donne point de dégagement élafiique ,91. qu'elle retient après la dillillation , même après la calcination , une partie de la matière qu'elle a attirée de l'atmof^
- phère, 92 & 93. que c'ell à l'eau répandue dans l'at-
mofphère que !a chaux doit (on augmentation de poids a l'air , p4. q^'iJ eft de même du pirophore , iiid. Il obfèrve que l'alkali volatil cauftique bout ^e lui-même \Bc fans chaleur fbus le récipient de la machine pneuma- tique, 9<j, qu*il en eft de même de l'alkali fixe caufti- que , ihid. que les alkalis non cauftiques , au contraire , ne préfèntent point le même phénomène , iBid, que l'air introduit dans les alkalis cauftiques ne leur rend point la propriété de faire eflèrvefcence , 97. que les alkalis çauiliques n'éprouvent point de changement dans 1%
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