DES MATIERES. 55,7 D
p:acîiîne à condenfêr Pair de Grave fânde ," iBid, d'où il conclud que îa caufticité des alkalis vient plutôt d'une fabftance ajoutée , que d'une fubflance retranchée, 98. Ses obfèrvations fur les émanations, de la fermentation, ibid. Il fubftitue un nouvel appareil à celui de M. Mac- bride, ihid. Il fait voir que l'émanation des effervefcences & de la fermentation , rend aux alkalis cauftiques la propriété de faire effervefcence & de crilîallifèr , 99 & 100. que l'émanation de la putréfadion a les mêmes propriétés, 100 & loi, que les émanations des efFer« vefcences , de la fermentation & de la putréfadion ^ différent de l'air de ratmofphère , loi. qu'elles étei- gnent la flamme , ibid, qu'elles font périr les animaux y loi. qu'elles arrêtent les progrès de la putréfadion , ibid, que leur élailicité n'elî: pas confiante, i03,qu'el-! îes font plus fubtiles que l'air , ibid. Il prétend que ces fùbftances font connues depuis long-temps par les Cby- mifles (bus différens noms , 104. Quelles n'exiiloient pas dans les corps dont elles fbrtent , ibid. Il les divifê en différentes clalTes , 105. Il affigne leurs différences, ibid. Ses réRexions fur la qualité antiputride de l'air , 105 & 106, L'efbrit-de-vin l'efl aufïi , 10^, Il avance que nous ne connoifTons pas la manière d'agir des anti- f^-ptiques , 104. Il a éprouvé que l'air des puits d'Utrecht faifbit périr les animaux , & qu'il précipitoit l'eau de chaux ,107, que l'eau cependant en étoit fàlubre , ibid„ que l'air qui avoit paffé à travers les charbons ardens étoit dans le même état, 108, Duhamel (^ M, )• Ses Expériences fur la chaux ^ 1^0
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