DrF1¤ÉR. DEGRÈS DE SOLUB. DES SELS. 427 qui s’en dillout dans une quantité donnée d’eau Er dillérens degrés du thermomètre: or comme on fait aujonrd’hui avec beaucoup de prècilion, cl’après les expériences que nous avons publiées M. de la Place Sc moi, ce qu’nne livre d’eau contient de calorique à chaque degré du ther- momètre, il fera toujours tacile de déterminer par des expériences limples la proportion de calorique 8: d’eau qu’exige chaque fel pour être tenu en dill`olution, ce qui s’en abforbe au moment ou le l`el fe liquélie, ce qui s’eu dégage au moment ou il crillallile. . On ne doit plus être étonné d’apres cela de Voir que les l`els même qui lont dillolubles à hold le dîlîolvent beaucoup plus rapidement dans Peau chaude que dans Peau froide. Il y a toujours emploi de calorique dans la dilTo— lution des Tels; 8: quand il faut que le calori- que l`oit fourni de proche en proche par les corps environnans , il en rêlirlte un déplacement qui ne s’opère que lentement. L’opération an contraire le trouve tout d’un coup facilitée 8: accélérée quand le calorique nécellaire à la folution le trouve déja tout combiné avec l’eau. Les (els, en général, en le dillolvant dans l’eau , en augmentent ’la peümteur lpécilique, I mais cette règle n’eIl pas ablolument fans ex- . CCPUOIL ‘
