Des DxssoLU·rxoNs MÉTALLIQUES, .59 figure 2 , bouchée en B avec un bouchon de liège troué dans fon milieu , 8: qui lraille palier un tube de verre reconrbé en B C, qui s’en— gage Tous des cloches remplies d°eau , Sr reu- verfées dans un baliin plein d’eau: on com- mence par introduire le métal dans la bouteille A, on verfe Faciale par·<le[`uts, puis on bouche avec le bouchon garni de fon tube B C. Mais cer appareil 11’eIl pas lans inconvé- nient , du moins pour cles expériences très-« exaéles. Premièrement lorlque l`acide ell très- · concentré, & que le métal ell tres-clivilé, l’eF— fervelcence commence (buveur avant qu’on ait eu le tems de boucher la bouteille; il y a perte de gaz , & on ne peut plus déterminer les quantités avec exaclitudd Secondement dans toutes les opérations où Pou ell obligé de faire Chauller , il y a une partie de l’acide qui le diflille 8: qui le mêle avec l’eau de la cuve ;· eu - forte qu’on le trompe dans le calcul des quan- rités d’acide· cléoompofees. Troifièmement enfin Peau, de la cuve ablorbe tous les gaz fulcepti- bles de fe combiner avec Peau, 8: il ell im· - 'pomble de les recueillir fans perte. r Pour remédier à ces inconvéniens , favoîs d’aborcl imaginé d’adapre.r à une bouteille à. (l€l1X gOU·lCauX A , planche VII, fgiare 3 , Im ` entonnoir de verre B C qu’on y Iute de ma-g
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