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Page:Lavoisier - Traité élémentaire de chimie.djvu/514

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460 Dies Dxssotowtons Mémntxovss. niort: à ne laiffet aucune illiie à l’air. Dans cet entonnoir entre une tige de crillal DE ulée en D à Vémeti avec Pentonnoir, de manière à le fermer comme le bouchon d'un flacon. LorF:p1’ou veut opérer , ou commence par introduire dans la bouteille A la matière à oil`- Bbucire: on lute Yentonnoir , on le bouche avec la tige DE, puis on y verle de Pacide qu’on fait pailer dans lat bouteille en auîfi petite quan- tité que Pon veut, en llottlevaut doucement la tige: on répète Fuccellixzement cette opération ju|'qu’à ce qu’on (oit arrivé au point de faturation. On a employé depuis un autre moyen qui remplit le même objet, 8: qui dans certains cas efl préférable: feu ai déjà donné une idée dans le paragraphe précédent.}! coniiûe à adap- ter à Pune des tubulures de la bouteiile A , pit VII, jîg. 4 , un tube recourbé D E F G terminé en D par une couverture capiliaire,_ Sc en G par un entonnoir fondé au tube; on le inte iloigneulement Et folidement dans la tubulure C. Lorïqtron verre une petite goutte de liqueur dans le tube par Fentonnoir G , elle tombe dans la partie F; Ii on en ajoute clavamtage, elle parvient â dépafler la courbure E & à s’introduire dans la bouteille A : Pécoulemen-: · dure tant qu’0n fournit de nouvelle liqueur par Fentonnoir ' G. On conçoit qu’elle ne peut