DÉ'1*oNATroH DU SALPÈIBE. ygx carbonique qui le dégage , parce qu’une partie ell abîorbée par Peau à meüute qu’il la traverle; mais l’acide carbonique unefois ablotbé _, il _ relie le gaz azote; 8: li on a la précaution de Pagiter pendant quelques minutes dans de la potalI`e caullique en liqueur , on Pobtient pur, 8: il ell ailé d’en déterminer le volume 8: le poids. Il ell même polïible d’artiver par cette méthode à une connoiflànce allez précîfe de ~ la quantité de gaz acide carbonique, en répé- tant Pexpérience un grand nombre de lois & en failant varier les doles du charbon , jufqu’à Vce qu’on [bit arrivé a la julle proportion qui fait détoner la totalité du nitre. Alors , cïaprès le poids du charbon employé, on détermine celui dbxygëne qui a été nécellaîre pour le laturer, 8: ou en conclut la quantité dbxygène contenu dans une quantité donnée de nitre. Il ell au lurplus un autre moyen que j’ai pratiqué 8: qui conduit â des rélixltats plus sûrs; c’efl de recevoir dans des cloches remplies de mercure le gaz qui le dégage. Le bain de mercure que j’ai maintenant , ell allez grand pour qu’on paille y placer des cloches de douze à quinze pintesde capacité. De pareilles clo- ches, comme l’0n lent , ne font pas très- maniables quand elles Font remplies deimer-· eure; aullî faut-il employer pour les remplir , L1 ij
