552} DE LA FUSëION. CHAPITRE VII]. Des Iwfümëüf neïqfaéres pour opérer fitr les ' çozps à de trés-/mures zempcômmres. 5. 1= zz zz nz 1 zz xa. Dc la Fufon. LOBSQU,CN ecarte les unes des autres, par le moyen de Peau, les molécules d’un fel, cette opération , comme nous Pavons vu plus haut , fe nomme jôimivn. Ni ledîfîolvant, uî le corps tenu en dâifoiutîon ne ibm dêcompoféé dans cette opération; âuüï clès l’it1Ilam; que la caufe qui tendît les molécliles écartées celle, elles Fe rétmîllènt , 8: la fubllance (aline re parole telle qu’elle étoit avant la folutîon. On opère auîlî de véritables folutîons parle feu , c’eR·à-dire , en îutroduifam 8: en accumu- laut entre les molécules d’un corps une grande quantité de calorique. Cette folutiou des corps par le feu fe nomme fiz h`0n. Les fulïons en général fe font dans des·val`cs que Fon nomme creufets , 8: l’u¤e cles premières conditions ell qtfils foient moins fulîlales que
