Page:Le Braz - La légende de la mort en Basse Bretagne 1893.djvu/273

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J’ai entendu une voix mélodieuse qui disait : « Vous êtes pardonnés ! » Et c’est tout.

— C’est assez ! prononça le recteur. Ton mari et toi, Lénan Rojou, vous pouvez aller en paix. Souvenez-vous seulement que s’il est mauvais de voler les vivants, il est odieux de voler les morts ! Quant à Marie-Jeanne Hélary, soyez certains qu’elle ne vous tourmentera plus[1] !


(Conté par Baptiste Geffroy, dit Javré. — Penvénan, 1886.)
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  1. V. les rapprochements indiqués pour le no XXXVII, et spécialement : Le linceul promis. — [L. M.].