Cette page n’a pas encore été corrigée
circonstances du service », le drame peut-être le plus atroce dont les tragiques annales du Raz aient conservé le souvenir. Je laisse la parole à Goulven Dénès, « chef gardien — ainsi qu’il se qualifie lui-même — du phare de Gorlébella ».
◄ | Chapitre I ► |