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Page:Le Braz - Vieilles histoires du pays breton, 1905.djvu/87

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LE BÂTARD DU ROI

meur, de Plougonvêr, et fondait un hôpital pour les pauvres. En revanche, il demandait qu’on inscrivit sur sa tombe ces deux vers :

Etré Montroulèz a Guerrand,
’M euz grêt mil markizès ha cant.

[Entre Morlaix et Guerrande, — J’ai fait mille et cent marquises.]

Et c’est bien l’épigraphe qui convenait à cet étrange Don Juan breton.