2. Ô vous qui croyez, ne profanez ni les cérémonies d’Allâh, ni le mois sacré[1], ni les offrandes (les victimes), ni les colliers en guise d’ornement (qu’on leur met)[2], ni les fidèles de la maison sacrée (qui) cherchent la grâce de Leur Seigneur et Sa satisfaction.
3. Quand vous n’êtes plus en état de grâce[3], chassez. Et ne soyez pas animés de mauvaise volonté ni de haine contre les gens qui vous ont détournés de la Mosquée sainte[4]. Soyez prêts à assister (les autres) par les bonnes œuvres et la piété ; mais n’aidez personne au péché et à l’injustice. Craignez Allâh ! Certes, Allâh est puissant pour châtier.
4. Ce qui vous est défendu, ce sont les (animaux) morts d’eux-mêmes, le sang, la viande de porc, ce qui est sacrifié (à un dieu autre) qu’Allâh, les (bêtes) étouffées, assommées, tuées
- ↑ Le Moharrem.
- ↑ Il était d’usage de mettre au cou des bêtes destinées aux sacrifices des colliers de feuillage, de fleurs, etc.
- ↑ Litt. : quand vous serez rendus à l’état profane, c’est-à-dire quand vous ne porterez plus l’ihram.
- ↑ Pour vous empêcher de commettre une action coupable, alors que vous n’étiez pas en état de grâce.
ne sont pas dans le texte arabe ; ils sont ajoutés pour faciliter l’intelligence du texte.