la prière et qui donnent l’aumône, en s’inclinant[1].
61. Et celui qui prend pour patron Allâh, Son Apôtre, et ceux qui croient…[2], en vérité, c’est le parti d’Allâh, celui des victorieux.
62. Ô vous qui croyez ! Ne prenez pas comme patrons ceux qui ont fait de votre religion l’objet de la raillerie et du badinage, parmi ceux qui ont reçu les Écritures[3] avant vous, et parmi les infidèles. Mais craignez Allâh, si vous êtes des croyants.
63. (Ni parmi ceux qui), lorsque vous appelez à la prière[4], la prennent comme objet de raillerie et de badinage. Cela vient de ce qu’ils sont des gens sans intelligence.
64. Dis : « Ô peuple du Livre[5] ! Allez-vous nous désavouer, parce que nous croyons en Allâh, et (que nous croyons) ce qui nous a été révélé, et ce qui a été révélé auparavant, et
- ↑ C’est toujours la prière rituelle avec ses inclinations obligatoires, et l’aumône légale et rituelle elle aussi.
- ↑ Même observation qu’au v. 59.
- ↑ Litt. : le Livre (Loi et Évangile).
- ↑ L’appel à la prière est organisé à l’époque où cette sourate a été écrite. C’est donc, comme nous l’avons dit (p. 84, note 2), une des sourates les moins anciennes du Coran.
- ↑ Livre dans le sens de livres révélés autres que le Coran.