Page:Le Degré des âges du plaisir, suivi de L’École des filles, 1863, T2.djvu/130

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certains passages et mettre une certaine langueur dans les endroits qui traitent de l’amour heureux et satisfait. Elle aura les pieds petits, bien faits, la jambe grassette par le milieu, les cuisses fermes et bien fournies en remontant vers le ventre, les reins souples et menus par la ceinture pour donner plus de vivacité dans l’exercice amoureux, et avec tout cela une motte grasse et garnie d’un poil brun qui serve de haie au jardin de l’amour. Le ventre doit être rond, de moyenne grosseur, la peau bien tendue et lisse ; il faut qu’il commence à se garnir de poils à quelques doigts du nombril et aller en épaississant jusqu’au dessous de la vulve, car il n’est rien de plus amoureux pour un homme que de voir et sentir sous la main une motte garnie d’une épaisse toison. Les deux lèvres qui servent d’entrée seront arrondies. fermes et blanches ; on apercevra, en les écartant un peu, deux autres lèvres, plus petites et d’un rose attrayant à la naissance desquelles se trouvera un petit bouton de chair extrêmement chatouilleux appelé clitoris. C’est là que la nature a mis le trône de ses plaisirs et de ses voluptés ; c’est de cette partie que viennent les chatouillements excessifs que les femmes ressentent pen-